F1 : «C’est fini», il balance cash sur la retraite de Lewis Hamilton !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Très clairement, Lewis Hamilton vit une première saison compliquée chez Ferrari. Le septuple champion du monde commence sérieusement à inquiéter au sein de l’écurie italienne. Pour Günther Steiner, ancien directeur de Haas, si le Britannique ne voit pas d’améliorations en 2026, ce dernier devrait tout plaquer pour prendre sa retraite.

L’avenir de Lewis Hamilton est-il en danger ? S’étant lui-même qualifié « d’inutile » lors des qualifications du Grand Prix de Hongrie, le septuple champion du monde connaît une première saison très compliquée avec la Scuderia. Loin derrière son coéquipier Charles Leclerc en course, « King Lewis » commence à montrer de sérieux signes de fébrilité, ce qui inquiète clairement les observateurs.

« Mais si ça ne marche pas non plus, alors c’est fini »

Pour Günther Steiner par exemple, la stratégie de Lewis Hamilton est d’attendre la révolution prévue en 2026 afin de se faire un ordre d’idée de son niveau. « Avec les nouvelles voitures à effet de sol, Lewis a connu des difficultés dès le début. Et en 2026, il y aura de nouvelles voitures, de nouveaux moteurs, et personne ne sait qui sera le plus performant à ce moment-là. Peut-être se dit-il ’je vais garder ça en tête jusqu’en 2026’. Mais si ça ne marche pas non plus, alors c’est fini. Même si ce n’est pas du jour au lendemain. S’il voulait arrêter, il le dirait bien à l’avance pour que l’équipe ait le temps de trouver un remplaçant », a lâché Steiner, relayé par Next-Gen Auto.

« Il veut forcer les choses »

« S’il ne peut pas battre Charles, essayer de rester avec lui. Le plus grand ennemi, c’est la pression interne. Et pour l’instant, il en fait trop. Il veut forcer les choses. Mais si vous savez que la performance n’est pas au rendez-vous, alors faites de votre mieux et vous verrez : la décontraction, la confiance et le rythme reviendront », conclut l’ancien directeur de Haas à propos de Lewis Hamilton.

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