Lors du Grand Prix d’Abu Dhabi, Sebastian Vettel a disputé sa dernière course avant de prendre sa retraite. Alors qu'il avait annoncé vouloir prendre une pause, l'Allemand a reçu une offre surprenante de la part de Red Bull. Christian Horner, le patron de l'écurie autrichienne, s’est d’ailleurs exprimé à ce sujet, avant que Sebastian Vettel vienne lui répondre.
À l'issue du Grand Prix d’Abu Dhabi, la Formule 1 a fait ses adieux à Sebastian Vettel. Alors que le pilote avait annoncé vouloir prendre une pause, celui-ci reçoit déjà une proposition pour un éventuel retour dans le monde de la F1.
F1 : Red Bull, Pérez… Verstappen sort du silence et lâche ses vérités https://t.co/Yh3UcvkjGY pic.twitter.com/6renDyHFNM
— le10sport (@le10sport) November 25, 2022
« Nous avons deux équipes, nous sommes donc ouverts à cela »
Dans des propos relayés par MotorSport, Christian Horner, le directeur de RedBull, s’est exprimé sur la possibilité d’accueillir Sebastian Vettel dans un rôle de manager. « Nous avons deux équipes, nous sommes donc ouverts à cela. Sa vie serait définitivement différente de celle qu’il avait eue en tant que pilote. Il viendrait travailler plus tôt, partirait plus tard et ne recevrait qu’une toute petite partie du salaire d’un pilote ! »
« Comme je l’ai dit, c’est une possibilité »
Après l’annonce de Christian Horner, Sebastian Vettel a voulu lui répondre. Le pilote allemand qui a gagné quatre titres de champion du monde avec Red Bull avoue qu’il n'exclut pas un possible retour en Formule 1, mais préfère prendre son temps avant de répondre à la proposition de l’écurie autrichienne. « Oui, comme je l’ai dit, c’est une possibilité. J’ai lu que les directeurs d’écurie ont dit du bien de moi, surtout chez Red Bull. Je vais prendre une pause mais j’aurai déjà le rythme : j’ai l’habitude de me lever tôt avec les enfants. Et quand j’étais en Formule 3, un certain Helmut Marko adorait me réveiller à sept heures du matin au téléphone. Mais oui, je sais très bien que les pilotes doivent consacrer consciemment du temps au repos, alors que les dirigeants des équipes sont constamment au travail ou presque. Cela fait forcément réfléchir. Voyons dans quelques mois. »