Le 31 mai dernier, le PSG a épaté tout le monde en s’imposant en finale de Ligue des champions face à l’Inter Milan sur le score de 5-0. Une victoire nette et sans bavure qui a fait beaucoup de mal aux Milanais. Denzel Dumfries a par exemple avoué qu’il lui arrivait encore de penser à cette défaite et cela ressemble à un cauchemar pour le défenseur néerlandais.
Après des années de tentatives infructueuses et de déceptions, le PSG y est enfin arrivé. Samedi 31 mai dernier, le club de la capitale a enfin réussi à mettre la main sur la première Ligue des champions de son histoire et de quelle manière ! Les coéquipiers de Marquinhos se sont imposés 5-0 contre l’Inter Milan dans une finale à sens unique, que les Parisiens ont dominée de la tête et des épaules.
La masterclass de Doué
Dans cette finale, un homme est particulièrement sorti du lot côté PSG, même si tous les Parisiens se sont montrés à leur avantage. Buteur à deux reprises mais aussi auteur d’une passe décisive pour Achraf Hakimi, Désiré Doué a été le grand bonhomme de cette finale. Il est d’ailleurs le premier joueur français de l’histoire à réaliser une telle performance à ce niveau là de la compétition. Un coup d’éclat qui pourrait d’ailleurs lui faire gagner le trophée du Golden Boy.
Dumfries fait des cauchemars du match contre le PSG
Si Désiré Doué est donc à la fête, ce n’est pas le cas des joueurs de l’Inter Milan et plus précisément de Denzel Dumfries. Le Néerlandais a affirmé faire encore des cauchemars de cette rencontre tout en reconnaissant au passage que le PSG était très largement supérieur. « Pour être honnête, ce n'est pas facile. Parfois, on se réveille en sursaut et on se demande ce qui s'est passé. Alors oui, cela reste très difficile à accepter. Ai-je réussi à l'accepter ? Non, absolument pas, je le dis en toute honnêteté. La façon dont les choses se sont déroulées est également très malheureuse. Le PSG nous a été supérieur en tout, sa victoire est méritée. Mais on arrive à ce match en travaillant dur ensemble, nous avions tous les meilleures intentions. Et puis, rien ne se passe. C’est difficile à accepter. »