Samir Nasri dit stop, les raisons sont dévoilées !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Aujourd’hui consultant sur Canal+, Samir Nasri avait démarré sa carrière de joueur à l’OM. Professionnel pendant plusieurs années, il aura joué jusqu’en 2020 et une dernière expérience à Anderlecht. Nasri a ensuite décidé de raccrocher les crampons. Mais pourquoi arrêter à seulement 33 ans ? Le Marseillais avait visiblement ses raisons.

OM, Arsenal, Manchester City, FC Séville, Antalyaspor, West Ham, Anderlecht, l’équipe de FranceSamir Nasri aura donc connu une belle carrière, malgré de nombreux bas au cours de celle-ci. Ayant commencé très tôt à Marseille, le milieu offensif a fini en Belgique. C’est à seulement 33 ans que Nasri a pris sa retraite sportive, un choix sur lequel il a tenu à revenir.

« J’arrête parce que… »

Pourquoi prendre sa retraite aussi tôt donc ? Pour Ouest France, Samir Nasri a justifié cet arrêt, expliquant alors : « J’arrête parce qu’à ce moment-là, ma mère et ma sœur sont malades. Et je me dis que la famille passe avant tout ».

« J’essayais de revenir, mais j’ai enchaîné les blessures au mollet »

Le contexte familial a donc influencé Samir Nasri, mais pas seulement. « En plus, je sortais de la suspension (pour dopage), j’essayais de revenir, mais j’ai enchaîné les blessures au mollet. Puis, il y a eu le Covid. Il était temps d’arrêter. Il y avait trop de signes », a ajouté le joueur formé à l’OM.

Pour autant, malgré l'arrête de sa carrière de joueur, Samir Nasri est resté très proche du monde du football, lui qui est aujourd'hui consultant sur Canal+. « J’ai pris de la distance avec le football ? Jamais. C’est ma passion. J’ai toujours regardé beaucoup de matches, parfois jusqu’à quinze en un week-end. Je n’ai pas ressenti de rejet à ma retraite. Et je n’en ai jamais ressenti, même en 2014, lorsque je ne suis pas pris à la Coupe du monde. Malgré cette grande injustice que j’ai ressentie, je l’ai regardé ce Mondial. Mon amour du foot n’a jamais changé », a expliqué Nasri.

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