OM : Mercato de folie, le vestiaire valide !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Arrivé en fin de mercato, lui qui a été prêté par Brighton, Matt O’Riley est revenu sur son adaptation express à l’OM. Très bien accueilli par que ce soit par le staff ou le vestiaire, l’international danois estime que tous les joueurs qui sont arrivés cet été à Marseille sont talentueux, mais surtout des « bonnes personnes », ce qui facilite l’intégration.

Arrivé dans les derniers jours du mercato avant de rejoindre sa sélection nationale, Matt O’Riley n’a pas vraiment pu prendre le temps de s’adapter à l’OM. Prêté par Brighton, le milieu de terrain âgé de 24 ans a été titulaire lors de quasiment tous les matchs, mis à part la réception de Lorient (4-0).

« Tout le monde a été très accueillant, le staff comme les joueurs »

« Ça se passe très bien. Tout le monde a été très accueillant, le staff comme les joueurs », a confié Matt O’Riley ce lundi en conférence de presse à propos de son adaptation. « C’est un gros changement, dans un pays où la langue est différente. C’est l’aspect le plus difficile. Mais le football reste universel : quand on joue, on n’a pas vraiment besoin de parler. J’apprends chaque jour et ce sera de plus en plus facile. »

« Quand on a des joueurs de qualité qui sont aussi de bonnes personnes, tout devient plus simple »

Comme lui, d’autres joueurs sont arrivés en fin de mercato, à l’instar de Nayef Aguerd, Benjamin Pavard ou Emerson Palmieri, mais une certaine osmose semble déjà s’être installée à l’OM. « C’est sans doute l’élément le plus important : avoir une bonne relation entre le staff et les joueurs. Nous avons recruté beaucoup de nouveaux joueurs, tous talentueux, mais surtout de bonnes personnes. Et quand on a des joueurs de qualité qui sont aussi de bonnes personnes, tout devient plus simple », estime Matt O’Riley. « Cela crée une vraie connexion, sur le terrain comme en dehors. C’est très excitant. Certains noms sont prestigieux, mais ce qui compte, c’est leur état d’esprit. Avec ça, il est plus facile de performer ensemble. »

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