A la peine au Real Madrid, Luka Jovic a très peu d'opportunités pour montrer de quoi il est capable. Alors que Karim Benzema s'est blessé en cours de match face à la Real Sociedad, Carlo Ancelotti a décidé de lui faire confiance. Sachant que Luka Jovic a rendu une très belle copie, le coach du Real Madrid a tenu à lui envoyer un message fort.
Depuis son arrivée au Real Madrid, Luka Jovic est en grande difficulté. Alors qu'il n'arrive pas à évoluer à son plus haut niveau, le buteur serbe est très peu utilisé. A tel point qu'il est devenu un indésirable au Real Madrid. Ce samedi, Luka Jovic a eu une occasion d'inverser la tendance. Pour pallier la sortie sur blessure de Karim Benzema, Carlo Ancelotti a décidé de faire rentrer son numéro 16. Et Luka Jovic n'a pas laissé passer cette occasion en or de s'illustrer. Buteur et passeur décisive, l'international serbe a été l'un des grands artisans de la victoire du Real Madrid face à la Real Sociedad (2-0). Après la rencontre, Carlo Ancelotti n'a pas manqué de féliciter Luka Jovic, avant de lui faire passer un message fort sur sa situation.
«Les joueurs comme lui méritent de jouer, je sais que c'est compliqué pour lui»
« Comment j'ai trouvé Luka Jovic ? Il faut souligner le match de Jovic, il n'a pas joué et il était prêt. Les joueurs comme lui, et d'autres comme lui, méritent de jouer. (...) Aujourd'hui, il y a un homme que nous devons mettre en avant, c'est Luka Jovic, qui s'est très bien comporté. Il a fourni la passe décisive et était prêt dans la surface pour le deuxième but », a confié Carlo Ancelotti à Real Madrid TV, avant d'en remettre une couche en conférence de presse d'après-match : « Ce que j'attends de Luka Jovic ? Pour moi, c'est un bon attaquant, comme Mariano. Ses qualités sont différentes de celles de Karim. Il est très fort. Le premier but de Vinicius est un classique de sa part ; et le deuxième, c'est un but de renard de surface, ce qu'il est. Je le félicite, car je sais que c'est compliqué pour lui. Il a profité de l'opportunité que je lui ai donnée. Il y en a d'autres qui ne jouent pas et qui méritent de jouer, c'est le problème de mon travail ».