Alors que le PSG n’a pas hésité à débourser pas moins de 40M€ en début de mercato estival pour s’attacher les services de Vitinha, le milieu de terrain portugais n’a plus du tout son rendement de début de saison dans la capitale. Daniel Riolo se lâche à son sujet ainsi que sur les autres renforts estivaux du PSG.
Dès son arrivée au poste de conseiller sportif du PSG en juin dernier, Luis Campos avait un objectif en tête sur le mercato : recruter son compatriote portugais Vitinha, en provenance du FC Porto. Il a donc décidé de lever sa clause libératoire de 40M€, et cette décision a été profitable au PSG puisque Vitinha a été la recrue la plus performante en première partie de saison. Mais depuis son retour de Coupe du Monde, l’international portugais peine à retrouver son rendement des derniers mois…
Mercato - PSG : La signature qui rendrait fou Riolo https://t.co/L1hqb4V3re pic.twitter.com/NpmY3entC1
— le10sport (@le10sport) January 16, 2023
« Vitinha, c’est fini »
Au micro de RMC Sport, dans l’émission l’After Foot, Daniel Riolo a pointé du doigt les recrues décevantes du PSG dans l’entrejeu, et Vitinha en fait forcément partie : « Le milieu de terrain au PSG c'est une zone en friche depuis des années. Je vais te dire un nom, tu vas voir, tu as oublié qu'il est passé au PSG. Wijnaldum ? T'avais oublié ? Bah voilà. C'est un mec, il est venu, milieu de terrain pour renforcer le club... Vitinha, c'est fini… », lâche Riolo.
Il n’est pas seul
Mais les autres renforts estivaux du PSG à ce poste, Fabian Ruiz et Renato Sanches, n’apportent pas plus de satisfaction aux yeux de Riolo : « Fabian Ruiz, c'est sa cousine Fabienne qui est là. A Naples, il joue sans problème... Renato Sanches ? Tu le vois et puis il va se blesser, tu vas plus le revoir et puis voilà. A l'arrivée c'est bien, c'est un gamin de 16 ans (Zaïre-Emery ndlr)... Tu as une masse salariale dans ce club faramineuse, un truc de fou, du jamais vu. Si Nasser n'est pas pote avec Ceferin et qu'il y a encore le FairPlay financier, ils prennent un savon monumental pour explosion de Fair-play financier, bon là, ça passe », constate Riolo.