Récemment délogé de la présidence de l’OM par Frank McCourt, Jacques-Henri Eyraud s’adresse à ses détracteurs et estime avoir été victime d’un certain délit de faciès.
Vendredi dernier, Frank McCourt a lâché une petite bombe via un communiqué officiel en indiquant que Jacques-Henry Eyraud était démis de ses fonctions de président de l’OM, remplacé avec effet immédiat par Pablo Longoria. La conséquence d’un divorce progressif ces dernières années avec les supporters, qui a notamment eu pour conséquence l’invasion de la Commanderie fin janvier. Dans un entretien accordé à So Foot, Eyraud sort du silence et répond sèchement à ses détracteurs.
« J’ai été victime d’un délit de faciès »
« Peut-être que j’ai été victime d’un délit de faciès. Stéphane Tapie m’a dit récemment qu’avec moi, ça ne pouvait pas coller, car je ne disais pas "J’m’en bats les couilles." Je pensais que l’on aurait un débat un peu plus élevé », assure l’ancien président de l’OM, qui regrette donc de ne pas avoir été pris au sérieux.