Mercato - OM : Ces terribles constats sur la piste saoudienne pour le rachat de l’OM !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Alors qu’un projet à 700M€ mené par Mourad Boudjellal pourrait racheter l’OM à Frank McCourt, des doutes ont été émis sur l’origines des fonds qui viendraient d’Arabie Saoudite…

Désormais, tout le monde parle du rachat de l’OM. Depuis l’annonce fracassante de Mourad Boudjellal, chacun cherche à savoir qui se cache derrière ce projet colossal, annoncé à 700M€. Si l’ancien patron du RCT préfère rester discret sur l’identité de cet investisseur franco-tunisien. Selon les différentes informations, il s’agirait de Mohamed Ayachi Ajroudi, qui résiderait actuellement en Arabie Saoudite, qui serait au sommet de cette opération. Les fonds seraient donc d’origine saoudienne. Toutefois, alors que des sommes folles sont annoncées pour ce rachat, L’Equipe assurant même ce samedi que cela pourrait monter jusqu’en 800M€, certains émettent de gros doutes.

Coup de froid pour l’Arabie Saoudite ?

L’OM va-t-il donc passer sous pavillon saoudien ? Pour Challenges, une source a fait part de ses interrogations concernant un tel investissement en provenance d’Arabie Saoudite, expliquant : « Pour qu’une telle somme sorte aujourd’hui d’Arabie saoudite, elle doit être validée par le gouvernement. Or, les Saoudiens, via leur fonds souverain (PIF), sont en discussions pour racheter Newcastle. Il est très peu probable que les autorités valident deux rachats simultanés ». Un constant inquiétant également partagé par une source diplomatique française. Celle-ci a alors expliqué au magazine : « Pour mener une telle opération, il faut être dans les petits papiers de ‘MBS’ et du pouvoir. Or, ce n’est pas le cas d’Ajroudi ».

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