Mercato - OM : Arkadiusz Milik justifie son arrivée à l’OM !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Vivant un calvaire à Naples, Arkadiusz Milik est venu se relancer cet hiver à l’OM. Un choix évoqué par l’attaquant polonais. 

A la recherche d’un attaquant durant le dernier mercato hivernal, l’OM a trouvé son bonheur du côté de Naples. En effet, Arkadiusz Milik a été prêté avec option d’achat, venant ainsi combler les besoins des Phocéens. Et cette opération a également fait le bonheur du Polonais. Dans le sud de l’Italie, Milik ne jouait plus étant mis de côté par Gennaro Gattuso. Pour l’attaquant de 26 ans, il était donc essentiel de retrouver du temps de jeu, surtout avec l’Euro qui se profile. 

« Je me suis dit que c'était une bonne option pour moi »

Pour relancer sa carrière, Arkadiusz Milik a donc accepté la proposition de l’OM. Et dans un entretien accordé à L’Equipe, le Polonais s’est expliquait, concédant : « J'étais vraiment dans une situation difficile à Naples, je n'ai pas joué pendant des mois, je ne veux pas entrer dans les détails, mais cela a été dur... Je suis venu pour jouer, pour profiter du football, pour être bon. Je pense aussi à l'Euro, je veux être prêt. L’OM, un pas en arrière dans ma carrière ? Marseille est un grand club aussi. Mais, oui, j'étais dans une situation un peu étrange. L'été dernier, le Napoli me dit que soit je prolonge, soit je pars. Moi, je voulais découvrir autre chose, je voulais partir. Finalement, pendant l'été, les choses ne se déroulent pas comme je l'avais espéré, la pandémie n'a pas aidé. Et, en janvier, Marseille a été le club qui m'a le plus voulu. Je me suis dit que c'était une bonne option pour moi, de venir ici et de jouer. Je ne me voyais pas attendre encore jusqu'à l'été prochain. J'aurais été libre et j'aurais pu partir pour un plus grand club, peut-être. Mais ne pas jouer du tout pendant un an, c'était trop. Je voulais retrouver le terrain et le plaisir. (...) Je ne voulais plus rester sur le canapé, je voulais être sur le terrain. Ma décision, c'était de ne pas attendre l'été pour aller libre là où je voulais aller, mais de partir en janvier pour trouver un club où je pouvais jouer ». 

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