Mercato - ASSE : Hamouma envoie un message fort sur l’arrivée de Pascal Dupraz !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Nommé par l’ASSE à la place de Claude Puel, Pascal Dupraz a ramené de la sérénité dans les rangs stéphanois comme l’explique Romain Hamouma. 

Durant la première partie de saison, Claude Puel n’avait pas réussi à trouver la solution à l’ASSE. Et alors que les Verts étaient englués à la 20ème place de Ligue 1, l’entraîneur en a fait les frais. Puel a ainsi été remercié et l’ASSE a décidé de faire confiance à Pascal Dupraz pour éviter la relégation. Une arrivée qui jusqu’à présent semble porter ses fruits. D’ailleurs, Romain Hamouma a souligné que les choses avaient changé depuis l’arrivée de Dupraz à Saint-Etienne

« Le coach a réussi à créer une unité collective »

A l’occasion d’un entretien accordé à ButFootballClub, Romain Hamouma s’est ainsi confié sur cette nomination de Pascal Dupraz sur le banc de l’ASSE. L’attaquant stéphanois a alors avoué : « Plusieurs amis sont partis la saison dernière ? Oui. Kévin (Monnet-Paquet), Mathieu (Debuchy) et Jessy (Moulin). C'était difficile. Ce sont des amis. En plus ils connaissaient le club par cœur, le haut niveau. J'étais triste. J’étais aussi inquiet ? Oui. Un peu inquiet, c'est vrai. Si je le suis toujours ? Non. Les choses ont changé. Je sens un gros collectif et c'est comme ça qu'on va s'en sortir. Le coach a réussi à créer une unité collective. J’apprécie sa méthode ? Oui. Je m'y retrouve. J'ai besoin de cette proximité. Je pense qu'elle fait du bien au groupe et même au club. Il avait peut-être besoin de ça, d'un électrochoc. Le message passe plutôt bien. Les trois victoires consécutives ont redonné confiance au groupe. On n'est plus lanterne rouge. C'est bien. Mais il ne faut surtout pas se croire arrivés. La route est encore longue ». 

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