Il claque la porte de l’OM, l’Espagne hallucine
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Marcelino a pris la décision de quitter l'OM après les évènements survenus à la Commanderie lundi soir. Au cours d'une réunion avec les leaders d'associations de supporters, Pablo Longoria aurait été menacé et insulté. Difficile dans ces conditions d'envisager de rester pour Marcelino, dont l'avenir fait parler dans la presse espagnole.

Trois petits mois et puis s'en va ! Marcelino a pris la décision de quitter l'OM après que son président ait été menacé par certains supporters. La presse espagnole a commenté les événements survenus à Marseille ces dernières heures. Journaliste pour As, Andres Onrubia a résumé le sentiment général.

« En Espagne, les gens sont très surpris

« En Espagne, les gens sont très surpris qu’un groupe ultra puisse avoir une réunion avec la direction. En Espagne, les clubs et le gouvernement ont freiné le pouvoir des ultras. Le Real Madrid et le Barça les ont expulsés, on ne peut pas comprendre pourquoi des radicaux peuvent forcer la démission d’un entraîneur et qu’en plus, le président soit sur le point de partir. C’est quelque chose qu’on ne comprend pas en Espagne » a-t-il confié à Foot Mercato.

La presse évoque « un bordel monumental à Marseille »

De son côté, Marca évoque « un bordel monumental à Marseille », tandis qu'El Mundo annonce que « les ultras de Marseille ont coincé le clan espagnol de l’OM ». 

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