Cet été, Eric Junior Dina-Ebimbe a retrouvé la Ligue 1 en rejoignant Brest en provenance de l’Eintracht Francfort. Formé au PSG, le milieu de terrain de 24 ans s’est livré sur ses débuts avec le club parisien, lui qui revenait à Paris après une première saison dans l’élite passée en prêt à Dijon.
Il s’agit d’un beau coup pour le Stade Brestois. Âgé de 24 ans, Eric Junior Dina-Ebimbe a décidé de revenir en Ligue 1. Le milieu de terrain formé au PSG a quitté l’Eintracht Francfort pour Brest dans le cadre d’un prêt avec option d’achat. Ancien talent de l’académie parisienne, le joueur né en 2000 va ainsi redécouvrir le championnat de France. Auprès de Get French Football News, ce dernier est revenu sur ses débuts avec le PSG après une première saison en Ligue 1 à Dijon.
« Je suis retourné au PSG, où j'ai joué avec de grands joueurs »
« C'était un peu les montagnes russes ! Ma première saison en Ligue 1 s'est déroulée à Dijon, et sur le plan personnel, j'ai trouvé que c'était une saison intéressante, mais collectivement, il y a malheureusement eu la relégation en Ligue 2. Mais la saison suivante, je suis retourné au PSG, où j'ai joué avec de grands joueurs. J'ai découvert plusieurs compétitions différentes, le rythme était différent, les objectifs étaient différents, et je pouvais m'exprimer avec de meilleurs joueurs. J'étais fier parce que c'était le club qui m'avait formé. C'était un rêve pour moi de jouer au PSG, et nous avons remporté le championnat. Donc, passer de la relégation à la victoire en championnat un an plus tard... J'ai beaucoup de bons souvenirs qui m'ont permis d'acquérir de l'expérience », a ainsi confié Dina-Ebimbe avant de poursuivre.
« Je dirais que le premier match était stressant »
« J'ai joué avec le PSG et l'Eintracht Francfort en Ligue des champions. Je dirais que le premier match était stressant ; il y a beaucoup d'appréhension parce que vous vous lancez dans l'inconnu. Le niveau est beaucoup plus élevé et le rythme est deux fois plus rapide quand vous affrontez les meilleurs joueurs du monde », conclut l’ancien Titi Parisien.