Divorce annulé : Le PSG répond cash !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

A en croire les dernières indiscrétions de Foot Mercato, le PSG serait prêt à se séparer de Lucas Beraldo lors du mercato hivernal. Si le divorce semble acté entre les deux parties, ce n’est pas du tout l’avis du journaliste brésilien Bruno Andrade, qui révèle que Paris n’a aucune intention de vendre son numéro 35.

C’est la bombe du jour du côté du mercato du PSG ! Ce vendredi, Foot Mercato révèle ainsi que le club parisien ouvre désormais la porte à un départ de Lucas Beraldo. Le Brésilien, arrivé à Paris en janvier 2024, ne ferait donc plus l’unanimité, et sa vente pourrait permettre au club parisien de renflouer ses caisses.

« Le PSG ne travaille pas sur cette idée »

Néanmoins, au Brésil, on dément fermement cette information. Journaliste, Bruno Andrade a révélé dans l’émission « Fala a Fonte » que le PSG ne souhaitait absolument pas vendre Beraldo. « Le PSG n'a aucun intérêt pour une négociation. Toute possibilité de prêt, que ce soit en Europe ou au Brésil, est exclue. Le PSG ne travaille pas sur cette idée », a confie ce dernier, qui ajoute qu’il s’agit surtout d’agents qui font circuler ces bruits de couloir.

« De nombreux agents tentent de le vendre »

« Beraldo n'est pas titulaire, c'est vrai, mais il a coûté environ 20 millions d'euros à São Paulo en 2024. Il est la doublure de Marquinhos et Pacho, mais il est le premier choix sur le banc. De nombreux agents tentent de le vendre car ils savent qu'au Brésil et en Europe, des clubs recherchent des défenseurs de haut niveau et qu'ils sont sur le point de démarcher le PSG. Pour le vendre, il faudrait débourser une somme importante », conclut Bruno Andrade.

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