Vente OM : Menacé à Marseille, il reçoit une réponse
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Le feuilleton de la vente de l’OM déchaîne les passions à Marseille au point que cela dépasse parfois les limites. Ainsi, Mohamed Bouhafsi a révélé qu’il avait reçu, comme ses proches, des menaces de mort après avoir divulgué ses informations sur ce dossier, ce qui l’a poussé à changer de domaine. Très actif sur le sujet, Thibaud Vézirian a commenté cette affaire.

Depuis quasiment quatre ans, la vente de l'OM tient en haleine les Marseillais. Chaque information fait l'effet d'une bombe, mais à l'époque des premières rumeurs, Mohamed Bouhafsi a plusieurs fois démenti, ce qui n'avait pas plu à plusieurs supporters de l'OM. Au point de recevoir des menaces de mort. Désormais journaliste pour France Télévisions, il avait ainsi décidé de quitter le monde du sport comme il l'a récemment expliqué au micro de Farid Rouras.

Bouhafsi menacé à cause de la Vente OM

« Je suis parti du foot parce que malheureusement dans ce dossier de Vente OM qui m’a fait beaucoup de mal, on a menacé mes proches. Si demain quelqu’un vient avec une énorme offre pour Franck McCourt, il partira mais c’est pas le cas. Ça me fait beaucoup de mal pour les supporters marseillais qui ont rêvé et ont cru qu’ils allaient avoir Zidane ou Ronaldo. Ça fait mal au cœur parce qu’ils sont tellement passionnés, que parfois des gens en profitent un peu. Je suis au quotidien le dossier », expliquait l’ancien journaliste de RMC.

Vézirian sort du silence

Très actif depuis quatre ans sur le dossier de la vente de l’OM, Thibaud Vézirian a été interpellé à ce sujet sur son compte X (ex-Twitter). « Non pas au courant, je ne saisis pas trop pourquoi, mais ayant été menacé de mort personnellement, puis mis en demeure pour avoir révélé des infos confidentielles, je peux comprendre ce qu'il a ressenti. Soutien », assure simplement le journaliste.

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