Jacques Cardoze est passé du rêve au cauchemar à l’OM. En effet, fervent admirateur du club phocéen, le journaliste est passé par le service de communication de l’Olympique de Marseille avant d’être mis de côté, licencié et de tomber dans une dépression. Son père est revenu sur ce départ difficile.
En juin 2021, seulement quelques mois après la nomination de Pablo Longoria en tant que président, JacquesCardoze intègre la famille OM. Le journaliste se voit alors confier la direction du service communication de l’Olympique de Marseille. Un rêve de gosse prend alors forme pour le natif de Bordeaux qui est supporter de l’OM depuis sa plus tendre enfance comme Le Parisien le souligne dans un portrait à l’honneur de Cardoze ce samedi.
OM : Gattuso envoie un message à l’entraîneur de l’OL https://t.co/6Y8fAw5ZCG pic.twitter.com/QTheEBKLYx
— le10sport (@le10sport) October 28, 2023
Le père de Cardoze se lâche : «C’était un drame pour lui parce qu’il a un amour passionné pour le club et la ville»
Cependant, le retour à la réalité a été rude pour JacquesCardoze. Marginalisé dès l’été 2022 par le comité de direction du club phocéen, soit un an seulement après sa prise de fonctions, le directeur de la communication de l’OM termine en arrêt de travail l’espace de quelques semaines avant de quitter l’Olympique de Marseille et de tomber dans une dépression. Dans le cadre du portrait du Parisien, le père de JacquesCardoze a fait passer le message suivant à son sujet. « C’était un drame pour lui parce qu’il a un amour passionné pour le club et la ville ».
«Il m'a tellement mal licencié que moi aussi je suis suivi depuis des mois»
Pour L’Équipe, JacquesCardoze révélait en septembre dernier être suivi psychologiquement après son licenciement très dur à encaisser. « Il m'a tellement mal licencié que moi aussi je suis suivi depuis des mois. Je prends encore des médicaments. Il a aussi fait du mal aux autres. Dans cette histoire, il y a une part de com', je pense. Il y a beaucoup de théâtre à Marseille, notamment chez les supporters, ceux qu'on appelle les grandes bouches. Ça gueule, ça gueule... Après, c'est de l'ordre de l'intime. Je comprends très bien qu'il puisse être ébranlé... Mais il en a vu d'autres, Pablo ».