Présent à l'OGC Nice depuis l'été dernier, Jonathan Clauss a accordé un long entretien au quotidien L'Equipe. Il y évoque divers sujets, notamment son départ de l'OM suite à l'arrivée de Roberto de Zerbi. L'international français a fait savoir qu'il ne regrettait aucunement son départ, en raison de la pression inhérente à ce lieu. Une sortie qui a occasionné certaines critiques.
Ce samedi, L’Equipe diffuse l’entretien d’un Jonathan Clauss épanoui. Aujourd’hui à l’OGC Nice, l’arrière droit de 32 ans respire dans le sud de la France. Sur la promenade des Anglais, il a retrouvé un environnement sain et une tranquillité qu’il avait perdu à Marseille. Cette pression ressentie à l’OM a impacté sa vie de tous les jours et a rendu son départ moins douloureux que prévu.
Clauss justifie son départ de l'OM
« Pour moi, c'est plus agréable à vivre. J'ai connu une période à Marseille où c'était extrêmement compliqué dans ma vie de tous les jours. Elle n'avait quasiment plus de saveur. C'était foot, dormir, foot, dormir. Je ne pouvais plus mettre un pied dehors. Il y avait des rumeurs. Les gens se cantonnaient à l'image médiatique que j'avais et qui était fausse, alors que je ne faisais rien de tout ça. Aujourd'hui, je savoure d'être là (à Nice). Je vais au resto tranquillement avec ma compagne ou mes parents, je me balade un peu en ville. Je respire, en fait » a confié Clauss au quotidien sportif ce samedi.
« La victimisation, ça ne marche pas »
Cette déclaration a fait réagir certains observateurs comme Mohamed Toubache-Ter. Sur X, il a lourdement taclé Clauss. « Je viens d’apprendre que jouer à l’Olympique de Marseille est très très dur. Zéro saveur, c’est la torture, boulot maison dodo. On peut pas y vivre. Étrange, pas cette impression en voyant Rulli, Guendouzi, Sanchez etc etc La victimisation, ça ne marche pas. » a-t-il lâché avec une certaine ironie.