Arrivé l’été dernier sur le banc de l’OM, Roberto De Zerbi a réalisé une première saison très intéressante à Marseille. Ce dimanche, le coach italien est revenu plus en profondeur autour de son véritable amour pour le club phocéen, et pour toute la ville de Marseille au sein du podcast Supernova.
Un véritable mordu de ballon. L’été dernier, Roberto De Zerbi créait la surprise en rejoignant l’OM. Convoité par plusieurs cadors du football européen comme le Bayern Munich ou encore le FC Barcelone, le technicien italien décidait finalement de rallier Marseille, qu’il a remis sur le droit chemin. Dauphin du PSG cette saison, le club marseillais disputera la Ligue des Champions la saison prochaine, avec l’ancien coach de Brighton sur son banc.
« Je suis tombé amoureux de Marseille par l'intermédiaire d'un de mes premiers entraîneurs »
Ce dimanche, au cours d’un podcast italien intitulé Supernova, Roberto De Zerbi est revenu sur son attachement pour l’OM, mais également pour la ville de Marseille. « Marseille est un endroit à la fois spécial et unique. Je suis tombé amoureux de Marseille par l'intermédiaire d'un de mes premiers entraîneurs à Milan, qui m'avait suggéré de regarder l'équipe de Marseille des années 90 pour m'inspirer de Chris Waddle, car je jouais au même poste sur le terrain. Et depuis j'ai toujours été passionné par cette ville, par le narratif autour de cette ville. La plus multiculturelle d'Europe », a lâché Roberto De Zerbi.
« J'adore cette ville parce qu'elle a un côté contradictoire »
« Il y a des problèmes sociaux aussi, des problèmes de chômage, de corruption, de délinquance, mais j'adore cette ville parce qu'elle a un côté contradictoire dans beaucoup de choses. Elle te rend aussi beaucoup plus que les autres villes, des choses qu'une ville normale ne vous donne pas, comme la chaleur de ce stade par exemple, le folklore de cette ville, parce que c'est une ville magnifique. Je cherche obligatoirement une connexion avec la ville. Si je ne me sens pas bien dans un endroit, j'aurai aussi du mal à m'exprimer en tant qu'entraîneur », conclut l’Italien.