Alors qu’il s’était accroché avec un journaliste présent en salle de presse mercredi soir après la défaite de l’OM contre le Stade Rennais, André Villas-Boas a échangé avec les journalistes présents en conférence de presse ce vendredi afin de clore définitivement l’incident.
« Continues comme ça, je t'attrape moi. Si j'ai la chance de t'attraper... continues comme ça, c'est bien », avait lâché André Villas-Boas à l’encontre d’un journaliste de La Provence mercredi dernier après la défaite de ses hommes à Rennes (2-1), avant d'en rajouter une couche sur le parking du Roazhon Park. Les propos virulents de l’entraîneur de l’OM ont logiquement suscité la polémique ces derniers jours, chose qui l’a conduit à faire son mea culpa ce vendredi en conférence de presse, le technicien de 43 ans disant regretter ce coup de sang provoqué par des papiers qui « attaquaient son intégrité ». Annonçant être prêt à s’excuser, André Villas-Boas se serait ensuite entretenu avec les journalistes présents dans la salle de presse ce vendredi afin de définitivement mettre un terme à la polémique.
André Villas-Boas a échangé avec les journalistes après sa conférence de presse
C’est ce que nous apprend RMC Sport ce vendredi soir. Le média français explique en effet que les journalistes présents et André Villas-Boas auraient discuté au terme de la conférence de presse du jour. Le Portugais aurait ainsi pris le temps de discuter avec eux lors d’un échange qui aurait été cordial et destiné à définitivement clore l’incident. En outre, RMC Sport précise que le fait que les journalistes aient quitté la salle de presse avant l’arrivée d’André Villas-Boas n’était en rien un acte de protestation contre l’entraîneur de l’OM. Ceux-ci souhaitaient en fait discuter avec lui avant la conférence de presse dans une pièce à l’abri des caméras et micros. Finalement, le Portugais est arrivé dans la salle de presse quasiment vide, et les journalistes ont vite regagné leur place après avoir été informés de la présence de l’ancien entraîneur du FC Porto. Quoi qu’il en soit, après deux jours de polémique, l’affaire serait désormais définitivement classée.