Cet été, l’OM a dévoilé « Sans jamais rien lâcher », une série-documentaire en six épisodes retraçant la saison 2024-2025. Entre images exclusives du vestiaire, moments tactiques et séquences de vie quotidienne, la série permet aux supporters de s’immerger dans l’intimité du club. Mais pour Roberto de Zerbi, certaines choses doivent rester dans l'intimité du groupe.
Les supporters de l'OM ont eu droit cet été à un rendez-vous hebdomadaire inédit : « Sans jamais rien lâcher », une série-documentaire en six épisodes consacrée à la saison 2024-2025. Disponible sur YouTube depuis le 12 juillet, elle plonge dans les coulisses du club. Les audiences confirment l’engouement : le premier épisode, « PrOMesses », a dépassé les 660 000 vues, tandis que « Ciel d’autOMne » et « Qui sOMmes nous ? » ont respectivement attiré 470 000 et 400 000 spectateurs. Entre images exclusives, séquences tactiques et moments de vie, ce programme offre un accès privilégié à l’intimité de l’équipe, renforçant le lien entre l’OM et ses fidèles.
Enorme succès pour le documentaire de l'OM
Interrogé sur cette initiative, Roberto De Zerbi n’a pas caché sa satisfaction. « Je n'ai aucun secret dans la vie et dans le foot. Donc ça me fait plaisir que ce documentaire sorte. On est à Marseille, on est unis avec les supporters, les dirigeants. Il y a des choses qui doivent rester dans le vestiaire. Mais on essaie de trouver notre identité. Une fois que tu la trouves, ça doit rester en toi. Avant de savoir où tu veux aller, il faut comprendre qui tu es. » a confié l'entraîneur de l'OM en conférence de presse.
Un cri de guerre repris par le public ?
La série a aussi révélé un détail qui n’a pas échappé aux fans : un cri de guerre lancé par De Zerbi, « Chi siamo », lors de discours dans le vestiaire. Un slogan qui a fait le buzz et qui pourrait être repris au sein du Vélodrome. Sur ce point, l’entraîneur de l'OM reste prudent. « Ces choses-là doivent rester au vestiaire, c’est quelque chose qui est né à l’intérieur — notre identité ne varie pas selon le championnat. Une fois qu’on la trouve, qu’on la construit, c’est quelque chose qui nous reste. Il faut comprendre qui nous sommes. Cela permet de nous retrouver en tant que joueurs, puis d’aller au stade après le travail quotidien en essayant d’obtenir un résultat » a confié De Zerbi en conférence de presse.