L’OM pousse un coup de gueule, le RC Lens lâche sa réponse
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Battu sur la pelouse du RC Lens samedi dernier (2-1), l’OM a du mal à digérer le but refusé à Alexis Sanchez après intervention de l’assistance vidéo. Le club marseillais a même publié un communiqué mardi soir pour exprimer son mécontentement concernant les décisions arbitrales à son encontre cette saison. Présent en conférence de presse ce mercredi, Franck Haise a répondu aux Olympiens.

Quatre jours après la défaite de l’OM sur la pelouse du RC Lens (2-1), le but refusé à Alexis Sanchez fait encore beaucoup parler. Alors que le Chilien avait ouvert le score dès la huitième minute de jeu, Clément Turpin a invalidé sa réalisation après intervention de l’assistance vidéo, estimant que l’attaquant marseillais était coupable d’une faute sur Kevin Danso.

« Je reste persuadé qu'il y avait faute »

Présent en conférence de presse ce mercredi, en marge de la réception du Stade de Reims vendredi, Franck Haise a de nouveau affirmé que pour lui, Alexis Sanchez avait bel et bien fait faute sur Kevin Danso : « Pour avoir revu plusieurs fois la séquence, je reste persuadé qu'il y avait faute. C'est le rôle du VAR. M. Turpin était loin de l'action, ce n'est pas facile à voir, le VAR l'a aidé mais il y a clairement faute », a déclaré l’entraîneur du RC Lens.

« Marseille qui défend ses intérêts comme chaque club »

Dans la soirée de mardi, l’OM a même publié un communiqué afin de dénoncer cette décision arbitrale, ainsi que plusieurs autres survenues au cours de la saison, s’estimant lésé. Une initiative que comprend Franck Haise : « À l'époque, nous aussi (on l'avait fait) c'était plus musical. C'est plus littéraire du côté de Marseille qui défend ses intérêts comme chaque club. Il n'y a pas de soucis. On n'oublie qu'on a parfois été avantagés par certaines décisions, parfois désavantagés », a-t-il ajouté.

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