Évoluant désormais du côté du Real Madrid, Kylian Mbappé est toujours en conflit judiciaire avec le PSG, à qui l’attaquant de 25 ans réclame 55M€ de divers impayés. Alors que le club parisien avait récemment eu recours à la FFF dans ce litige, l’instance a rejeté la demande francilienne, et a dévoilé ses raisons par le biais d’un communiqué publié ce vendredi.
L’histoire commune entre Kylian Mbappé et le PSG est loin d’être terminée. Si le phénomène de 25 ans a quitté la capitale française pour la capitale espagnole cet été, l’avant-centre du Real Madrid est toujours embourbé dans un litige financier l’opposant au club francilien. La raison ? Le PSG ne lui aurait pas versé plusieurs salaires ainsi que plusieurs primes lors des derniers mois de son contrat à Paris, le total de ce montant s’élevant à 55M€.
Kylian Mbappé se fait clasher sur l’alcool et les filles https://t.co/ELpotG1hOD pic.twitter.com/73QFR2KLlU
— le10sport (@le10sport) November 20, 2024
Gros conflit entre Mbappé et le PSG
Alors que le PSG évoque un accord passé entre le joueur et le club au mois d’août 2023 (qui avait d’ailleurs permis la réintégration de Mbappé au sein du groupe professionnel), Kylian Mbappé lui, conteste la validité de ce dernier. Pour rappel, cette affaire s’est traduite en justice, tout d’abord devant la commission juridique de la LFP, puis devant la commission paritaire d’appel de l’instance. Les deux fois, la LFP a donné raison à l’ancien numéro 7, demandant ainsi au PSG de verser cette somme de 55M€ à son ancien joueur. Mais clairement, le PSG ne compte pas s’arrêter là…
La LFP refuse de réexaminer le dossier
Le club parisien a en effet réclamé une réexamination du dossier auprès de la LFP. Mais ce vendredi, l’AFP a révélé que l’instance avait rejeté la demande du PSG. Dans un communiqué, la LFP a tenté de se justifier. « La Fédération Française de Football ne s’est en aucune façon prononcée sur le fond du litige opposant le Paris Saint-Germain à Monsieur Kylian Mbappé. Aucune injonction fédérale n’a donc été formulée. Le service juridique de la FFF a simplement constaté que la demande d’évocation fédérale du dossier, dont elle avait été saisie, n’en remplissait pas les conditions requises », peut-on lire au sein de ce dernier.