Mercredi soir, l'OM reçoit l'Atalanta au stade Vélodrome en Ligue des champions. Un match forcément particulier pour Roberto De Zerbi qui affronte une équipe italienne, mais surtout, le coach marseillais est né à Brescia, à quelques kilomètres de Bergame. Autrement dit, l'Atalanta est l'ennemi juré des fans de Brescia. Raison supplémentaire pour laquelle De Zerbi veut voir l'OM gagner ce soir.
Avec trois point au compteur après trois journées, l'OM est dos au mur en Ligue des champions avant la venue de l'Atalanta au Vélodrome mercredi soir. Un match très particulier pour Roberto De Zerbi, natif de Brescia dont il est un grand supporter. Une ville qui se situe seulement à quelques kilomètres de Bergame ce qui en fait le grand rival de l'Atalanta. Ce n'est donc pas un match comme les autres pour Roberto De Zerbi.
De Zerbi face à son grand rival
« Jouer contre une équipe italienne, c’est toujours une émotion diverse. Ça m’est arrivé avec Brighton contre la Roma, et ici aussi. L’Atalanta est différente pour moi parce que je suis né à Brescia. Je suis brescian, tifoso de Brescia. Donc pour moi, l’Atalanta, c’est quelque chose de différent. C’est comme un Brescia–Atalanta, très important. Mais ça reste un match de Champions League : il faut bien jouer pour gagner et avancer dans la compétition », lâche-t-il en conférence de presse avant de poursuivre.
«l’Atalanta, c’est quelque chose de différent»
« Moi, je suis né à cent mètres du stade. Quand il y avait un match contre l’Atalanta, du lundi au dimanche, on ne parlait que de ça. Dans ma famille, dans mon histoire, dans mon ADN. L’Atalanta a eu la chance d’avoir des clubs et des présidents importants. À Brescia, nous n’avons pas eu la même chance. Il y a une grande différence de résultats, mais la passion reste la même », ajoute Roberto De Zerbi.