«Hystérie» à l’OM, c'est du jamais vu !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Malgré un mercato estival ambitieux, l’OM n’a pas démarré sa saison de la meilleure des manières en concédant une défaite sur la pelouse du Stade Rennais (1-0) vendredi soir. Une défaite qui a déjà des conséquences dans le vestiaire, et qui selon Pierre Ménès, prouve une nouvelle fois la surréaction qui est propre à Marseille.

L’OM aurait certainement voulu éviter une telle déroute. Vendredi soir à Rennes pour le premier match de la saison, le club phocéen a concédé une défaite frustrante (1-0). Pourtant en supériorité numérique pendant une grande partie du match, les hommes de Roberto De Zerbi n’ont jamais réussi à trouver la faille, et se sont fait punir en fin de rencontre par un but signé Ludovic Blas.

« Ça n’arrive pas dans tous les clubs de foot »

Une défaite qui a eu des répercussions. D’après les révélations de RMC Sport, l’ambiance était très tendue dans le vestiaire à la fin du match. S’étant senti touché par certaines critiques, Jonathan Rowe se serait emporté, et un clash aurait alors éclaté avec Adrien Rabiot. Selon Pierre Ménès, ce genre de crise est systématique à l’OM. « Le clash à l’OM, ça peut arriver dans n’importe quel club de foot. Mais ça n’arrive pas dans tous les clubs de foot après une défaite, surtout une défaite dans un premier match », a confié l’ancien consultant sur sa chaîne YouTube ce lundi.

« Je n’ai personnellement jamais vu ça »

« Encore une fois, je suis désolé, de confirmer ce que je dis depuis un moment mais cette façon qu’ont eu de réagir les Marseillais après cette défaite inaugurale à Rennes, elle est quand même extrêmement symptomatique de l’hystérie qui entoure ce club, qui oscille entre l’optimisme béat et qui passe en situation de psychodrame après une défaite. Ce sont des choses qui peuvent arriver, après de là à ce que Rabiot et Rowe en soient quasiment à s’alpaguer, ça n’arrive pas dans tous les clubs. Je n’ai personnellement jamais vu ça. Donc c’est une spécialité marseillaise d’être dans la surréaction », conclut Pierre Ménès.

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