Clash dans le vestiaire de l’OM : Daniel Riolo balance cash sur les réseaux sociaux !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

L'agitation au sein de l'Olympique de Marseille fait parler après la défaite face au Stade Rennais vendredi soir (0-1). Sur le réseau social X, le journaliste Daniel Riolo a dénoncé les critiques des supporters phocéens visant les médias et a souligné la responsabilité du club dans ces tensions.

Il y a déjà de l’agitation au sein de l’Olympique de Marseille. Surpris par le Stade Rennais, qui s’est imposé lors de cette première journée de Ligue 1 en infériorité numérique grâce à une réalisation de Ludovic Blas dans les dernières minutes, les joueurs de Roberto De Zerbi ont laissé exploser leur colère dans les vestiaires, donnant lieu notamment à une altercation entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe, avec un face-à-face houleux sans que les deux hommes n’en viennent aux mains.

« On n’y peut rien si l’OM en permanence se chauffe tout seul »

Logiquement, ces tensions font parler dans les médias, de quoi agacer certains supporters de l’OM, reprochant à la presse de trop en faire. Des critiques que ne souhaite pas entendre Daniel Riolo. « Non non stop avec ça... Les médias racontent ce qu’il se passe. Il n’y a pas d’huile (sur le feu, NDLR) et on n’y peut rien si l’OM en permanence se chauffe tout seul. Stop avec le blabla des médias qui sont responsables dès que quelqu’un à l’OM fait un pet foireux », a écrit le journaliste sur X.

L’allusion de Riolo au PSG

Daniel Riolo a poursuivi sa remarque en faisant une référence au PSG : « En revanche on peut se demander pourquoi quand il s’agit d’autres clubs, enfin surtout d’un club…. Ça dit beaucoup moins de peur du « raid »… et la crise de décembre dernier on était fou si on l’évoquait … ça oui ».

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