Clash avec les arbitres : L'OM craque, un ancien du PSG crie au scandale !
La rédaction

Après les déclarations de Pablo Longoria suite au penalty non sifflé sur Jonathan Rowe lors d’OM-Strasbourg, de nombreuses personnes se sont emparées du débat. Jérôme Rothen a affiché son soutien aux dirigeants marseillais, tandis qu’à l’OM, certains estiment que le « clash » n’est pas la bonne stratégie à adopter d’après Florent Germain.

L’OM s’est plaint d’une nouvelle injustice ce dimanche après le match contre Strasbourg. Une décision que le club marseillais considère injuste et qui s’ajoute à une longue liste de plaintes. Jérôme Rothen a exprimé son soutien envers les dirigeants marseillais :
« Je trouve qu'il n'y a eu aucune décision arbitrale qui a été dans leur sens et qui leur a fait gagner un match. Ça, c’est la réalité. Il y a un ras-le-bol total ! » a-t-il déclaré dans l’émission Rothen s’enflamme sur RMC.

« Il faut dire basta ! »

Cette polémique fait écho aux déclarations enflammées du président de l’OM, Pablo Longoria :
« C'est un scandale, il y a une main dans le dos sur une grosse occasion de but, a-t-il enragé. Je ne comprends pas, jusqu'à quand ça va continuer ? » s’est emporté le dirigeant espagnol.
« Pourquoi la VAR ne réagit-elle pas ? Le défenseur ne joue pas le ballon, je ne comprends pas. Ça fait trop sur trop de matches. Je ne sais pas ce qu'on cherche. On veut nous pénaliser ? Je ne comprends pas. Il faut dire basta ! Il y a trop de décisions contre nous depuis le début de saison », a-t-il poursuivi au micro de DAZN.

La bonne stratégie ?

Florent Germain, correspondant RMC Sport en charge de l’Olympique de Marseille, a évoqué au micro de Jérôme Rothen que certains, au sein du club, remettent en question cette stratégie offensive :
« Marseille disait qu'ils ne voulaient plus rien laisser passer après avoir été trop conciliants. C'était maintenant fini. Sauf qu'à l'OM, on se demande si cette stratégie ne se retourne pas contre le club », explique-t-il.
« Certains membres en interne, comme Fabrizio Ravanelli, pensent qu’il faut davantage de dialogue et de diplomatie avec les arbitres plutôt que d’opter systématiquement pour le conflit », conclut le journaliste.

Articles liés