Le boss de l’OL dégoupille en direct, il lâche un nouveau coup de gueule
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Après avoir assisté de près aux incidents qui ont éclaté dimanche dernier aux abords du Vélodrome en marge du match OM-OL qui a finalement été reporté le 6 décembre prochain, John Textor doit gérer une autre polémique avec son club de Botafogo après son gros coup de gueule sur l’arbitrage. Et l'Américain a décidé d'en rajouter une couche.

John Textor a vécu une semaine bien agitée. Alors qu’il était présent au Vélodrome le week-end dernier au moment où des incidents ont éclaté aux abords de l’enceinte marseillaise, le boss de l’OL a ensuite filé au Brésil pour assister au match d’une autre de ses équipes : Botafogo. Et rien ne s’est passé comme prévu pour la formation auriverde, s’inclinant 4 à 3 après avoir mené 3-0 à la mi-temps. De quoi rendre fou Textor

« C’est du vol »

« Ce n’est pas le carton rouge qui a changé le match, c’est la corruption. C’est du vol. L’arbitre doit démissionner demain, ce championnat est une blague. Personne ne mérite ça, ils peuvent m’expulser », avait lâché John Textor après la rencontre. Et la colère du président de l’OL n’est pas retombée. 

« Je ne reculerai pas »

Dans un communiqué publié sur son site internet, l’homme d’affaires américain en a rajouté une couche, alors que la Confédération brésilienne de football a décidé de le poursuivre en justice après ses accusations de corruption. « Je suis profondément et passionnément investi dans les communautés que je sers (…) J’ai été invité ici, par des personnes de sagesse au sein de notre gouvernement, pour aider à apporter des changements au beau jeu du Brésil et je ne reculerai pas face aux défis lancés par des personnes en position de pouvoir qui sont prêtes à faire n’importe quoi, et à dire n’importe quoi, pour s’accrocher à leur pouvoir. Nous sommes Botafogo… et suis ici pour mettre le feu », a-t-il lâché, dans des propos relayés par Foot Mercato.

Articles liés