«C’est des co*******» : Il pousse un surprenant coup de gueule au Real Madrid
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Alors qu’il arrive au terme de son contrat et que son avenir au Real Madrid est encore incertain, Toni Kroos a tenu à pousser un coup de gueule. En effet, le milieu de terrain allemand n’est pas du tout satisfait du maillot des Merengue cette saison. Il estime que les cols sont inconfortables et en a profité pour révéler son maillot préféré.

Dans son podcast Einfach mal luppen, qu’il anime en compagnie de son frère Felix, Toni Kroos a poussé un coup de gueule pour le moins inattendu. En effet, le milieu de terrain du Real Madrid, qui sera libre de tout contrat à l’issue de la saison et dont l’avenir est incertain, ne semble pas du tout apprécier le maillot de la Casa Blanca cette saison.

«Un polo n'est pas un maillot de football»

« Cette saison, nous avons également un col. Un polo n'est pas un maillot de football. Je m'adresse à tous les fabricants : c'est des conneries ! Les maillots avec col ne sont pas bons, ils sont inconfortables et pas beaux du tout. Et puis vous avez deux boutons là-haut. Il suffit de rajouter quelques boutons et on joue avec une chemise, ou quoi ? Ce n'est pas bien », a-t-il déclaré, dans des propos relayés par Mundo Deportivo.

Kroos révèle son maillot préféré

Selon Toni Kroos, le meilleur maillot du Real Madrid était celui de la saison 2019-2020 : « C'était de loin le plus beau maillot dans lequel j'ai joué. La vérité est que pendant un an, je me suis dit : nous devons gagner un titre avec ce maillot. Si nous ne gagnons pas un titre avec ce maillot, c'est une honte absolue et un manque de respect pour le maillot. Dieu merci, nous avons fini par être champions. Parfois, je n'avais même pas envie de le changer. Je voulais le ramener à la maison, même si j'en avais déjà 60, parce que je savais qu'à un moment donné, on me les enlèverait des mains. »

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