Équipe de France : Il vit un calvaire et choque tout le monde
La rédaction

Benjamin Pavard a traversé la Coupe du monde 2022 comme une ombre. Sa grosse erreur lors du premier but australien (4-1 pour les Bleus) lors du premier match du Mondial de l'équipe de France l'a contraint au banc et n'avais plus foulé un pied sur les pelouses qatariennes. Mais le résilient Benjamin a su se reconstruire, au point de choquer tout le monde. 

Le journal Le Parisien est revenu sur Benjamin Pavard, sa Coupe du monde ratée et sa résurrection. L'ancien lillois était en effet très affecté par ce qui lui était arrivé au Qatar mais ne s'est pas laissé abattre et a tout mis en oeuvre pour bouleverser le destin et prouver qu'il avait encore sa place en équipe de France. Cela a bien fonctionné lui qui était titulaire face à l'Irlande et qui a inscrit l'unique but de la rencontre d'une frappe dont lui seul a le secret.

Une fake news et de la déception

Un proche de Benjamin Pavard raconte les jours qui ont suivi la Coupe du monde au Qatar, dans des propos rapportés au Parisien : « Il a vite balayé de son esprit les turbulences de ce Mondial. II a juste été surpris par le petit vent de fake news. Il s’est retrouvé à la Une du Corriere dello Sport, de CNN Indonésie (d’aucuns rapportaient, notamment, les propos désobligeants qu’il aurait tenus à l’adresse de ses partenaires). Il a souhaité couper, partir en vacances et penser à autre chose. Il a mis tout ça de côté. Au Qatar, il y avait la déception de ne pas jouer, mais il s’est quand même mis dans le truc. Il s’est dit : j’ai perdu ma place, mais l’équipe gagne. En finale, on le voit sur le banc haranguer les gars. Ça n’a échappé à personne. »

« This is the Benji »

Selon un proche du vestiaire du Bayern Munich, club dans lequel évolue Benjamin Pavard, son retour a surpris beaucoup de monde, jusque dans la direction du club bavarois : « La perception du club a changé. Il n’est plus considéré comme le jeunot. Hasan Salihamidzic et Marco Neppe, (respectivement directeurs sportif et technique), lâchent souvent des : Wahou, this is the new Benji (c’est le nouveau Benji) ! »

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