Anelka : Sa folle réponse lâchée en équipe de France !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

A 69 reprises, Nicolas Anelka a porté le maillot de l’équipe de France. Mais quand il s’agit de parler de son expérience avec les Bleus, on se souvient davantage des mésaventures du joueur formé au PSG. La première à laquelle on pense est bien évidemment ce qui est arrivé en 2010, mais voilà qu’Anelka a connu d’autres moments pas simples à vivre.

En 1998, l’équipe de France de football est sacrée championne du monde. C’est tout le pays qui est en ébullition, mais voilà que certains ne doivent pas forcément sourire. En effet, avant la compétition, Aimé Jacquet avait dû écarter certains joueurs après une première liste élargie. Et parmi ces victimes qui ont vu le sacre de 1998 s’envoler avant le début de la compétition, on retrouvait notamment Nicolas Anelka.

« J’aurais le temps de passer mon permis »

Pour Kampo, Robert Pirès a d’ailleurs raconté une anecdote à propos de la réaction de Nicolas Anelka au moment d’être écarté avant le Mondial 98. « Nico ce qu’il a dit… (rires) Il a dit un truc que je ne peux pas oublier. Il est parti, mais tranquille. Il nous dit : « Non ce n’est pas grave, comme ça j’aurais le temps de passer mon permis » », s’est alors souvenu celui qui a été sacré avec les Bleus lors de cette Coupe du monde.

« Même encore aujourd’hui, je ne comprends pas »

Robert Pirès a donc lui été gardé par Aimé Jacquet pour cette Coupe du monde 98. Mais cela le surprend encore aujourd’hui. « Ce jour-là, c’est l’angoisse. Moi je me dis peut-être que je pars ? Oui. Bien sûr que j’étais concerné, mais dans son choix, il garde Diomède, Dugarry et moi côté gauche. Même encore aujourd’hui, je ne comprends pas. Moi, je ne jouais pas à droite. Il a pris trois même dans la même position », a avoué Pirès.

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