Mercredi, le PSG reçoit Arsenal en demi-finale retour de Ligue des champions. Les Parisiens ont réussi à gratter un petit avantage en s’imposant 1-0 lors du match aller. Toutefois, le club de la capitale a prouvé à de nombreuses reprises qu’il ne fallait pas crier victoire trop tôt. Selon Sergio Agüero, le champion de France est surtout plombé par un problème mental.
Le match le plus attendu de la saison du PSG arrive à grands pas. Mercredi soir, c’est Arsenal qui se déplace sur la pelouse du Parc des princes pour la demi-finale retour de Ligue des champions. Les Parisiens ne sont plus qu’à une victoire d’une nouvelle finale de C1, après celle de 2020 perdue contre le Bayern Munich (1-0).
« Le PSG était un adversaire... bizarre »
Avant cette demi-finale retour entre le PSG et Arsenal, Sergio Agüero s’est remémoré certains de ses matches face aux Parisiens pour L’Équipe. L’ancien joueur de Manchester City a notamment qualifié de bizarre le club de la capitale. « On les a joués une fois en quarts de finale (2-2, 1-0, en 2016) et une fois en demies (2-1, 2-0, en 2021). Le PSG était un adversaire... (il cherche le mot) bizarre. Quand on les jouait, on devait être très attentifs, parce que lorsque tous leurs joueurs de devant étaient à 100 %, c'était vraiment compliqué. Mais on savait qu'ils souffraient toujours quand on avait le ballon et qu'on jouait dans leur camp. Donc notre jeu était alors d'appuyer là-dessus, d'aller le plus possible vers l'avant. »
Le PSG a un problème mental selon Agüero.
Le PSG et Manchester City se sont donc souvent livrés de beaux affrontements et, selon Sergio Agüero, c’est du côté mental que le club de la capitale a un problème, ce qui peut expliquer quelques résultats surprenants ces dernières années. « Le PSG était un adversaire assez difficile parce que tu ne savais pas ce qui pouvait arriver. Ils pouvaient te mettre quatre buts ou tu pouvais leur en mettre quatre, sans savoir pourquoi, sans comprendre ce qui s'était passé. C'est une question mentale, qui est propre à chaque équipe. » Reste à voir si ce problème mental ressurgira mercredi soir sur la pelouse du Parc des princes.