Si Marion Rousse en est là aujourd'hui, c'est bien évidemment grâce au cyclisme. Toute la vie de l'ancienne championne de France tourne autour de ce sport. Mais voilà que cela aurait pu se passer complètement différemment pour la compagne de Julian Alaphilippe. En effet, à cause de son père, Marion Rousse aurait pu ne jamais connaitre le cyclisme.

Depuis toute petite, Marion Rousse baigne dans le cyclisme. Ce qui était une passion au début est devenue son métier pour celle qui est devenue cycliste professionnelle avant de se reconvertir comme consultante, d'abord sur Eurosport et désormais sur France Télévisions, ainsi qu'en tant que directrice du Tour de France femmes.
« Une enfance particulière »
D'ailleurs, à propos de sa jeunesse dictée par le cyclisme, Marion Rousse avait notamment déjà fait savoir : « C’est clair que je n’ai pas été carriériste parce que pour moi, j’avais besoin de faire du sport, le vélo en particulier, pour m’épanouir. J’ai aussi eu des résultats très tôt. J’ai aussi eu une enfance particulière, je n’ai pas connu les boites de nuit, j’allais à l’école mais je pensais plus à aller m’entraîner le soir. J’ai très vite intégré l’équipe de France, je suis partie très tôt de la maison. Ça te fait grandir plus vite. J’étais très axée sport dans la jeunesse. (...) Il n’y a personne qui m'a tendu la main, je n’avais pas un parcours écrit d’avance. Je viens de la campagne, mon père était ouvrier, ma mère dans l’éducation nationale. Quand j’ai commencé dans la télé, ça les a effrayé. Mes parents ont dit ça y est, elle va se jeter dans la gueule du loup, comment ça va se passer. J’y suis allée, toujours le côté fonceuse, mais prudente ».
« Mon père refusait que je choisisse ce sport »
Mais voilà que toute cette carrière aurait pu ne pas exister pour Marion Rousse. La raison ? Son père. En effet, invitée du podcast Elles ont osé, la compagne de Julien Alaphilippe a expliqué comment tout aurait pu capoter. « Au début, mon père refusait que je choisisse ce sport, qu'il trouvait très dur pour une petite fille. C'est finalement ma mère qui m'a inscrite en cachette », a fait savoir Marion Rousse.