NBA : Le clan Wembanyama annonce du très très lourd pour la suite
Florian Barré

Promis à un bel avenir en NBA, le futur de Victor Wembanyama continue de beaucoup faire parler outre-Atlantique. Certains sont enthousiastes le concernant, quand d’autres sont assez fatigués par la hype autour du Français. Et s’il y en a bien un qui croit en lui, c’est bien son agent Bouna Ndiaye, persuadé que le futur du nouveau joueur des Spurs sera radieux.

Auteur de deux belles performances en Summer League, Victor Wembanyama a pu rapidement montrer ce dont il est capable avec un maillot des Spurs sur le dos. Pour autant, certaines anciennes gloires de la NBA, comme Tim Hardaway et Tracy McGrady, ne sont pas du tout fans du prodige français, qu’ils jugent trop mis en avant par rapport à son potentiel réel. Évidemment, à 19 ans et sans expérience dans la Grande Ligue, le basket de Wemby est tout sauf parfait, mais pas d’inquiétude selon son agent Bouna Ndiaye.

« Comment tu pourras défendre sur lui ? »

Lors d’une interview avec le journaliste Marc J. Spears pour le site Andscape, Ndiaye a estimé qu’il faudrait 5 années pour rendre Wembanyama inarrêtable : « Je suis impatient pour lui parce qu’il veut être spécial. Il veut être imprévisible. Il veut être excellent dans tous les domaines et il y travaille. J’ai hâte de voir quand il y arrivera. Il a encore du potentiel. Il peut améliorer son tir. Il peut améliorer son corps. Il peut améliorer son éthique de travail. Dans 5 ans, comment tu pourras défendre sur lui ? » a lâché l’agent du phénomène français de 2,24m.

Wembanyama, la menace ultime

Si Wembanyama continue sur la même trajectoire, il est clair que le Français deviendra une arme redoutable, si l’on considère qu’il ne l’est pas déjà. Un joueur capable de terroriser les raquettes adverses, mais aussi de punir à longue distance de façon régulière. La menace ultime pour certains, y compris Bouna Ndiaye, impatient de voir grandir le Français dans le futur, bien que son adaptation dans la ligue nord-américaine demeure un mystère pour l’heure.

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