Ce vendredi après-midi, Novak Djokovic a maîtrisé Lorenzo Musetti en demi-finale de Wimbledon. Le Serbe va retrouver Carlos Alcaraz en finale du majeur londonien, un an après avoir été vaincu par le Murcien sur ce même tournoi. Après son succès, « Nole » n’a pas tari d’éloges à l’égard du numéro 3 mondial.
Novak Djokovic sans trembler. Après avoir accédé au dernier carré de Wimbledon suite au forfait d’Alex De Minaur, le Serbe a tranquillement disposé de l’Italien Lorenzo Musetti ce vendredi après-midi en trois sets (4-6, 6-7, 4-6). De l’autre côté, Carlos Alcaraz s’est imposé un peu plus difficilement face à Daniil Medvedev (7-6, 3-6, 4-6, 4-6). Ainsi, les deux joueurs vont se retrouver en finale de Wimbledon ce dimanche, un an après l’incroyable triomphe de l’Espagnol.
Wimbledon : Le regret inattendu de Djokovic https://t.co/KgKNwxKM05 pic.twitter.com/UyCbQ0edAZ
— le10sport (@le10sport) July 11, 2024
« J’espère gagner cette fois‐ci »
Forcément, Novak Djokovic s’est exprimé à propos de son futur adversaire. Dans des propos rapportés par WeLoveTennis, le numéro 2 mondial s’est montré très élogieux à l’égard de Carlos Alcaraz : « J’espère gagner cette fois‐ci. Je suis sûr qu’il ne l’espère pas. Il est un bon exemple de jeune joueur qui a une vie bien équilibrée. Une bonne famille… beaucoup de charisme… il se comporte bien sur le court et en dehors. Il est à juste titre l’un des meilleurs joueurs de 21 ans que nous ayons jamais vus dans ce sport ».
« Une énorme bataille sur le court »
« Nous le verrons encore beaucoup à l’avenir, sans aucun doute. Il va gagner beaucoup d’autres grands chelems », affirme Novak Djokovic. « J’espère que ce ne sera pas le cas dans deux jours, pas cette fois‐ci. Mais il aura le temps, je suis sûr, dans le futur… quand je prendrai ma retraite dans une quinzaine d’années (ries). Blague à part, il m’a déjà battu en finale ici l’année dernière en 5 sets. Je ne m’attends pas à moins que cela. Une énorme bataille sur le court. C’est un joueur complet. Il va falloir que je donne le meilleur de moi‐même pour le battre dimanche ».