«C'est impossible» : Federer, Djokovic, Nadal... Il se lance un défi perdu d'avance
Amadou Diawara

Avant la retraite de Roger Federer, les membres du Big 3 ont dominé la planète tennis pendant plusieurs décennies. Alors qu'il incarne le présent et l'avenir du tennis espagnol et mondial, Carlos Alcaraz aimerait battre les records du trio Federer-Djokovic-Nadal. Toutefois, le prodige de 19 ans estime qu'il est impossible de réaliser une telle performance.  

Pendant plusieurs décennies, Roger Federer (41 ans), Novak Djokovic (35 ans) et Rafael Nadal (36 ans ont tout écrasé sur leur passage, raflant tous les Grand Chelem. Alors que le Suisse a pris sa retraite sportive, l'âge commence à avoir raison du Serbe et de l'Espagnol. Ce qui donne espoir à Carlos Alcaraz. A seulement 19 ans, le prodige connait déjà le gout de la première place au classement ATP. Toutefois, Carlos Alcaraz est conscient qu'il n'est pas assuré de faire mieux que les membres du Big 3 lors de sa carrière. 

«Essayer de faire ce que les trois grands ont fait est une motivation»

Dans des propos rapportés par We Love Tennis, Carlos Alcaraz a reconnu qu'il espérait battre tous les records de Roger Federer,Rafael Nadal et de Novak Djokovic, avant d'admettre que cette performance lui semblait être impossible aujourd'hui. « J’ai toujours dit que chaque joueur a sa propre carrière, que chacun va aussi loin qu’il le peut. Rafa est l’un des meilleurs de l’histoire de notre sport et du sport en général, je ne pense pas à essayer de le surpasser, mais en même temps, essayer de faire ce que les trois grands ont fait est une motivation », a confié Carlos Alcaraz, avant d'en rajouter une couhe. 

«Dans mon esprit, c’est quelque chose d’impossible, mais...»

« Dans mon esprit, c’est quelque chose d’impossible, mais en même temps, c’est quelque chose que j’aimerais pouvoir faire. Cela me motive à continuer à m’entraîner à 100 % tous les jours et à me rendre aux tournois avec le même enthousiasme, la même envie qu’ils ont toujours eus. C’est un mélange d’essayer de ne pas y penser et de le prendre comme une motivation », a avoué Carlos Alcaraz.

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