Rupture d’Antoine Dupont : Sa mère vit «un choc» !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

En mars dernier, tout a basculé lors d’une simple action pour Antoine Dupont. En effet, avec le XV de France, face à l’Irlande, le demi de mêlée était alors grièvement touché au genou, victime d’une rupture des ligaments croisés. Une scène à laquelle la mère d’Antoine Dupont a assisté… à la télévision. Et ça n’a pas été facile à vivre.

Cela fait maintenant de très longs mois qu’on n’a plus revu Antoine Dupont sur un terrain de rugby. Alors que le demi de mêlée du Stade Toulousain et du XV de France est plus proche que jamais d’un retour, sa rééducation a été longue. C’est en mars dernier que le champion olympique s’est retrouvé sur la touche à la suite d’une rupture des ligaments croisés lors d’un match face le XV de France face à l’Irlande lors du Tournoi des VI Nations. Le début des galères pour Dupont et sa famille.

« Nous étions tous devant la télé »

Il n’y a en effet pas qu’Antoine Dupont qui a souffert de sa blessure au genou. Ça a aussi été le cas de sa mère, Marie-Pierre Galès. C’est ce qu’elle a expliqué pour le podcast Pourquoi le rugby. Revenant sur le moment de la rupture des ligaments croisés de Dupont en Irlande, elle a alors fait savoir : « Nous n’étions pas allés en Irlande. Personne de la famille, alors qu’en général, il y a toujours quelqu’un. Nous étions tous devant la télé. Ça a été un choc ».

« Ce n’était pas rassurant, parce qu’on pensait bien que c’était une blessure grave »

« Comme on l’a eu rapidement, quand il est rentré dans le vestiaire, il nous a rassurés pour dire que ça va. Mais en fait, ce n’était pas rassurant, parce qu’on pensait bien que c’était une blessure grave, qu’il avait très mal », a ensuite ajouté Marie-Pierre Galès.

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