Antoine Dupont : C'est terminé, le XV de France tourne la page
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Le 8 novembre, le XV de France retrouvera l'Afrique du Sud à l'occasion d'un test-match, deux ans après la terrible défaite en quart de finale de la Coupe du monde. Une désillusion que le capitaine Antoine Dupont avait eu du mal à digérer. Mais Louis Bielle-Biarrey l'assure, tout le monde est désormais passé à autre chose.

Dans quelques jours, le XV de France affrontera l'Afrique du Sud pour la première fois depuis la terrible désillusion en quart de finale de la Coupe du monde il y a deux ans. Les Bleus s'étaient inclinés contre les Springboks a domicile, laissant passer le rêve du capitaine Antoine Dupont de soulever la Coupe du monde devant son public. Néanmoins, Louis Bielle-Biarrey assure que les joueurs du XV de France sont passés à autre chose et ont digéré la désillusion contre les Sud-Africains.

Bielle-Biarrey promet que le XV de France a digéré la Coupe du monde

« On n'est plus du tout en mode revanche. On est plus concentrés sur notre objectif qui est porté sur 2027. Ce match est un sacré challenge, un gros défi. On reçoit les doubles champions du monde à la maison, les vainqueurs du Rugby Championship. C'est notre premier match de la saison. Notre match de rentrée. On sait qu'ils ont déjà pas mal de matches dans les jambes. C'est juste un sacré défi et un bon match pour notre construction en vue de la Coupe du monde 2027 », lâche-t-il en conférence de presse avant de poursuivre.

«Tout le monde est passé à autre chose honnêtement»

« Je m'en souviens oui mais ça fait quand même deux ans maintenant. Je pense que tout le monde est passé à autre chose honnêtement. Sur le coup, il y a eu beaucoup de frustration et de déception. Mais maintenant, ça fait deux ans. On est tous plus ou moins passés à autre chose. Pour ma part, il ne reste plus grand-chose de cette frustration », ajoute Louis Bielle-Biarrey.

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