Après un premier match raté mais tout de même gagné avec le bonus face à l’Italie (24-29), le XV de France se prépare pour un véritable combat de titans face à l’Irlande. C’est simple, les deux meilleurs nations du monde s’affrontent ce samedi et le gagnant aura sans aucun doute fait un grand pas vers le titre final en ce Tournoi des 6 Nations.
Voilà quelques années déjà que la France et l’Irlande se disputent le trône européen. Il faut dire qu’avec le naufrage de l’Angleterre, les deux meilleurs équipes au monde selon le ranking World Rugby dominent le Tournoi des 6 Nations. Cette édition 2023 ne fait pas exception, puisque le XV de Trèfle semble être le seul obstacle pour les hommes de Fabien Galthié, sur la route d’un deuxième sacre consécutif.
6 Nations : Le XV de France dispute un bras de fer historique https://t.co/nf4lgS4vrN pic.twitter.com/cSxT68I1je
— le10sport (@le10sport) February 10, 2023
« Nous, joueurs, on vit pour ces moments-là »
A quelques heures de ce choc, Grégory Alldritt s’est confié et a assuré qu’un énorme défi attend le XV de France. « A la place des Irlandais, ça fait trois ans que je perds contre la France, il y a deux ans on gagne chez eux, ils ont toute la motivation pour être prêts ce week-end » a expliqué le troisième-ligne tricolore, d‘après RMC Sport. « On affronte les numéros un mondiaux, ils annoncent un stade avec une atmosphère qui va être folle, toute cette ambiance du VI Nations, il y a tous les ingrédients réunis pour que ce soit un match mémorable. Et nous, joueurs, on vit pour ces moments-là ».
« Ça promet une belle bataille »
En face, Alldritt retrouvera ce qui se fait peut-être de mieux en matière de troisième-ligne, avec notamment l’actuel meilleur joueur du monde Josh van der Flier. « On sait que c’est une 3e ligne vraiment active, une des meilleures au monde actuellement. Il ne faut pas se focaliser uniquement sur eux mais on sait qu’il y aura beaucoup d’activité, beaucoup de contests, beaucoup de plaquages et qu’ils couvrent énormément de terrain » a poursuivi le joueur du Stade Rochelais. « A nous d’avoir des soutiens plus près que d’habitude et d’être plus forts et plus solides sur les rucks. On le sait, on est prévenus. Mais que ce soit la 3e ligne ou tout le reste du pack, c’est hyper mobile, c’est présent partout sur le terrain. Ça promet une belle bataille ».