Rugby - Top 14 : La nouvelle recrue du Stade Toulousain raconte son transfert !
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Fraichement recruté par le Stade Toulousain où il vient de s’engager jusqu’en juin 2025, Ange Capuozzo s’est confié sur son transfert chez le champion de France en titre.

C’est officiel depuis ce vendredi matin : Ange Capuozzo (23 ans) va rejoindre le Stade Toulousain avec qui il s’est engagé jusqu’en 2025 après avoir fait jusqu’ici l’intégralité de ses classes avec Grenoble. Une nouvelle étape importante donc dans la carrière de l’arrière international italien, et Capuozzo est revenu en détail sur les coulisses de son transfert vers le Stade Toulousain dans un entretien accordé à RMC Sport.

« Toulouse, ça ne se refuse pas »

« C’était une décision facile à prendre. D’abord pour l’aspect évidemment sportif qui prime pour moi. Je rêve encore de titres et d’évolution. C’était le meilleur challenge sportif qu’on pouvait me proposer sur la planète rugby. C’était une évidence. D’un point de vue personnel, j’arrive à un moment de ma vie où j’ai besoin de me mettre en difficulté, de partir et de sortir de ma zone de confort. Après ces trois années à Grenoble, c’était le bon moment, au bon âge, pour voir autre chose et découvrir un autre environnement (…) Toulouse ? Oui, ça ne refuse pas. Quand on est passionné de rugby et que l’on connaît les joueurs qui composent cette équipe, qui n’aurait pas envie de côtoyer ces mecs-là, qui sont sans doute les meilleurs à leur poste en ce moment, de toucher des ballons avec eux et de progresser ? C’est un rêve de passionné (…) Ils sont vraiment dans une phase de construction et de stabilisation pour les prochaines années. On se projette sur trois ou quatre ans pour certains. Ce sont des contrats longs dans le rugby et c’est aussi ce qui rend le projet intéressant. Cette stabilité rassure en tant que joueur. On se dit qu’on rentre dans un projet sain et sérieux. Ça m’a touché », confie Ange Capuozzo.

Articles liés