Ça y est, le plus grand événement de la planète rugby a enfin débuté. En cette année 2023, la France accueille la Coupe du monde et les plus grandes nations de l’ovalie afin de se disputer le titre mondial et la possibilité de soulever le trophée Webb Ellis. Mais que serait une compétition internationale sans son lot de polémiques ? La Coupe du monde de rugby n’y échappe pas et voilà que de nouvelles histoires viennent s’ajouter à une liste déjà conséquence…
C’est donc ce vendredi 8 septembre que la Coupe du monde de rugby 2023 a débuté. Et ça a commencé de la meilleure des manières puisque le XV de France s’est imposé face à la Nouvelle-Zélande. L’Italie, l’Australie, l’Angleterre ou encore l’Argentine ont également fait leur entrée dans la compétition, mais voilà que ces premiers matchs de la Coupe du monde de rugby ont fait éclater certaines polémiques. Ça a notamment été le cas ce samedi 9 septembre lors du choc entre l’Angleterre et l’Argentine du côté de Marseille au Vélodrome. En effet, de nombreux spectateurs ont regretté les problèmes de triage des supporters. On a alors pu avoir une grosse accumulation de personnes aux abords du Vélodrome et certains ont même manqué le coup d’envoi de la rencontre. Mais ce n’est pas tout. De nombreuses voix s’élèvent également contre les hymnes de cette Coupe du monde de rugby. A l’occasion de la rencontre entre le XV de France et la Nouvelle-Zélande, les critiques se sont multipliées à l’encontre de La Marseillaise interprétée par La Mêlée des Choeurs.
XV de France : Le coup de gueule de Galthié https://t.co/jqpTCnDwb0 pic.twitter.com/0yU79SWAeS
— le10sport (@le10sport) September 10, 2023
L’organisation du Mondial au coeur de la polémique
Voilà donc que la Coupe du monde de rugby 2023 débute avec son lot de polémiques. Et avant même le coup d’envoi, la compétition avait été émaillée par différentes affaires autour de l’organisation de celle-ci. Ça avait notamment été le cas concernant le climat de travail au sein de l’organisation avec plusieurs accusations à l’encontre de Claude Atcher à propos de pressions psychologiques. A l’époque, World Rugby n’avait d’ailleurs pas caché sa préoccupation face à ces révélations : « World Rugby a officiellement fait part de ses préoccupations auprès du conseil d'administration du comité et de la Fédération française de rugby ».
Chabal accusé de trafic de billets
Il y a également toute cette affaire avec Sébastien Chabal, accusé de trafic de billets. Ancienne gloire du XV de France, il était pointé du doigt après avoir récupérer une centaine de places pour la Coupe du monde de rugby. Dans la tourmente, Chabal avait alors réagi, confiant : « Oui, j'ai bénéficié d'un accès privilégié pour acheter plus de billets que ce qu'il est possible de faire par une seule personne, en raison de mon statut d'ambassadeur de France 2023. Je n'ai pas eu de gratuité ou de tarifs préférentiel. Et non, je n'entends pas faire de bénéfices sur ces places. Il est évident que ces places ne sauraient être revendues par ceux qui en bénéficieront. Il est tout aussi inenvisageable qu'elles puissent servir à des opérations commerciales ».