JO Paris 2024 - Basket : Wembanyama se lâche avant le Canada
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après s’être imposé contre le Brésil et le Japon, l’équipe de France a conclu la phase de groupes des Jeux Olympiques de Paris 2024 par une défaite face à l’Allemagne. Le niveau affiché par les Bleus depuis le début de la compétition interpelle, alors qu’ils seront opposés au Canada mardi en quarts de finale, mais pas de quoi inquiéter Victor Wembanyama pour autant.

L’équipe de France n’a pas vraiment rassuré avant d’affronter un des favoris de ces Jeux Olympiques de Paris 2024, le Canada, mardi en quarts de finale. Vainqueurs du Brésil et du Japon, les Bleus ont été balayés par l’Allemagne (71-85) lors de leur dernier match de poule. Au-delà du résultat, ce sont le visage et le niveau de jeu affiché par les hommes de Vincent Collet qui inquiètent.

« Pas plus inquiet qu’auparavant dans ma carrière »

Ce qui ne semble en revanche pas préoccuper Victor Wembanyama. « J’ai ce sentiment de responsabilité de faire tout ce qu’il faut pour gagner, mais non, pas du tout d’inquiétude sinon. Pas plus inquiet qu’auparavant dans ma carrière », a déclaré la star des San Antonio Spurs en conférence de presse, dans des propos relayés par Parlons Basket.

« Il n’y a pas de temps à perdre »

Victor Wembanyama a tout de même conscience que le temps presse et que l’équipe de France devra afficher un tout autre visage et hausser son niveau face au Canada : « Il n’y a pas de meilleur moyen que de grandir qu’en expérimentant, et notamment en perdant. Même si parfois ça permet de faire une piqûre de rappel, d’être confronté à la réalité des choses. (…) Je me sens très chanceux d’être ici, avec beaucoup de responsabilités. (…) Pas de pression, pas plus que n’importe quel moment dans notre vie de basketteur. Mais ça va plus vite qu’une saison, il n’y a pas de temps à perdre. »

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