Catastrophe absolue pour Ferrari. Alors que l’écurie italienne avait brillé ce vendredi lors des essais libres, la séance de qualifications du Grand Prix d’Azerbaïdjan a tourné au cauchemar pour Lewis Hamilton et Charles Leclerc. Le premier a été éliminé dès la Q2, tandis que le second a encastré sa monoplace dans le mur.
Une véritable catastrophe pour Ferrari. L’écurie italienne, qui nourrissait de grands espoirs sur ce Grand Prix d’Azerbaïdjan après avoir réalisé de très bonnes séances d’essais libres ce vendredi à Bakou. Cependant ce samedi, les qualifications ont tourné au vinaigre. Tout d’abord avec l’élimination de Lewis Hamilton, 12ème, dès la Q2, puis avec le crash de Charles Leclerc, 10ème de la séance.
« Tout s’est effondré »
Le Monégasque semblait très amer après cette séance. « Les sensations s’amélioraient jusqu’à ce que nous montions les pneus médium, puis tout s’est effondré. C’était très difficile lorsque nous avons monté les pneus médium. Pour une raison quelconque, hier, ils semblaient être les meilleurs pneus pour notre voiture, mais aujourd’hui, nous n’avons jamais réussi à trouver le bon réglage et cela a rendu les choses très difficiles. Cela s’est fini dans le mur », confie-t-il, relayé par Next-Gen Auto.
« On n’était nulle part »
« Honnêtement, on n’était nulle part. Pendant tout le week-end, j’ai eu beaucoup de mal de mon côté, on avait de la performance mais c’était très difficile de tout mettre bout à bout. On a fait de gros changements pour la qualif sur la voiture, ça allait dans la bonne direction mais j’avais énormément de mal à mettre les pneus dans la bonne fenêtre dans le premier tour, et surtout les mediums », conclut Leclerc, dégoûté.