Au cours des dernières années, plusieurs Grands Prix ont fait leur entrée dans le calendrier de la F1 au détriment d'anciennes pistes. Le GP de France a notamment été remplacé cette année, tandis que le Qatar accueillera sa première course le 8 octobre prochain. Malgré tout, Lewis Hamilton apprécie cette révolution en F1 et estime qu'il est bon d'avoir un équilibre entre les anciens et les nouveaux tracés.
Au cours des dernières années, plusieurs circuits ont fait leur apparition dans le calendrier de la F1. Le GP de Miami vient d’accueillir sa deuxième course de son histoire, celui d’Arabie Saoudite est encore très récent (2021) tout comme celui d’Azerbaïdjan (2017). Le Qatar recevra également les pilotes de F1 pour la première fois le 8 octobre prochain. Ces nouveaux tracés apportent un vent de fraîcheur dans le calendrier, même si certains anciens circuits en payent le prix fort comme le GP de France, qui n’aura pas lieu cette année. Malgré tout, Lewis Hamilton apprécie ce remaniement du calendrier.
F1 : Hamilton bientôt à la retraite ? Il fait une annonce tonitruante ! https://t.co/hAlTAtiSAf pic.twitter.com/o2GOh4CQHi
— le10sport (@le10sport) May 12, 2023
«J’espère que nous irons bientôt en Afrique»
« J’aime la direction, personnellement, que ça prend. J’aime le changement que nous voyons. C’est excitant de venir dans différentes parties du monde et sur différents circuits. Nous avons été sur tous les continents ou presque, j’espère que nous irons bientôt en Afrique et ce sera une expérience incroyable pour tout le cirque de la F1 de découvrir la culture là-bas. C’est un défi du point de vue d’un ingénieur et d’un pilote, d’aller dans de nouveaux endroits et nous aimons tous ça » a expliqué le pilote de Mercedes dans des propos rapportés par NextGen-Auto.
«C’est bien d’avoir un équilibre entre les deux»
« Bien sûr, j’aime tous les circuits plus anciens et je préférerai toujours les circuits plus anciens. Peut-être que dans 20 ans, 30 ans, un enfant verra Miami comme un circuit historique, mais c’est nouveau pour nous. Mais tous les vieux classiques comme la Hongrie et Silverstone et le circuit de Zandvoort et Monza, ils seront toujours spéciaux. Je pense qu’il est important que nous continuions à les avoir dans l’ADN de la Formule 1. Et pour autant que je sache, Stefano ne prévoit pas de s’en débarrasser comme ça. C’est bien d’avoir un équilibre entre les deux » a poursuivi Lewis Hamilton. À voir si d’autres circuits légendaires ne subiront pas le même destin que le Paul Ricard pour permettre à de nouvelles pistes d’arriver en F1.