Ferrari - Hamilton : La rupture annoncée en Italie !
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Depuis son arrivée chez Ferrari, Lewis Hamilton peine à répondre aux immenses attentes des Tifosi de la « Scuderia ». Avec sa quatrième place à Imola ce dimanche, le septuple champion du monde a retrouvé le sourire. Néanmoins, de nombreux supporters estiment qu’un réel écart existe entre le niveau du pilote britannique, et le celui de la SF-25 conçue par l’écurie italienne.

Quatrième ce dimanche à Imola, Lewis Hamilton a retrouvé le sourire. Pourtant, depuis son arrivée chez Ferrari, les prestations du septuple champion du monde sont en-deçà des attentes. L’alchimie ne prend toujours pas entre les deux parties, même si du côté des tifosi de l’écurie italienne, on estime que la responsabilité de l’échec revient surtout à la SF-25.

« Si Hamilton ne gagne pas, c’est la faute de Ferrari, pas la sienne »

« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise. Même Leclerc qui connaît la voiture par cœur ne peut rien faire. Là on voit bien que si Hamilton ne gagne pas, c’est la faute de Ferrari, pas la sienne. Il ne faut pas oublier la vérité. On est très loin du niveau qu’on doit avoir. Cette saison, elle est déjà morte. Il faut espérer que le changement de règlement en 2026 porte ses fruits. Il faut qu’il se passe quelque chose. Et on reviendra avec plaisir », ont ainsi confié plusieurs supporters de Ferrari auprès du Parisien ce dimanche.

« Cela veut juste dire que l’on doit faire un meilleur travail »

« Je ne crois pas au mot ’chance’. Ce n’est pas de la chance quand vous avez le même problème à Djeddah, Miami et Imola. Cela veut juste dire que l’on doit faire un meilleur travail. Le point positif, c’est que le rythme était soutenu du début à la fin. La stratégie était bonne et bien exécutée. Je suis un peu frustré, car si nous avions commencé la course en meilleure position, nous aurions pu faire mieux. Nous avons un vrai delta entre les qualifications et le rythme de course que n’ont pas nos concurrents », a de son côté affirmé Frédéric Vasseur à l’issue du Grand Prix d’Émilie-Romagne.

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