Pour sa première saison avec Mercedes, George Russell peut se targuer d'un bilan très prometteur avec une quatrième place au classement des pilotes, devant Lewis Hamilton qui termine sixième. Pour autant, le pilote britannique aura connu quelques moments compliqués durant ce championnat, notamment à Singapour, à Suzuka ou encore à Austin. Russell a d’ailleurs fait une terrible révélation à ce sujet.
Arrivé en 2022, George Russell aura plutôt bien réussi sa première saison avec Mercedes. Le Britannique a d’ailleurs terminé quatrième au classement des pilotes, devant Lewis Hamilton, sixième. Pour autant, Russell aura vécu quelques moments compliqués. Il s’est d’ailleurs exprimé à ce sujet.
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— le10sport (@le10sport) December 8, 2022
«J’étais épuisé mentalement»
Dans des propos relayés par MotorSport, George Russell avouait que les nombreux allers-retours l’ont énormément épuisé cette saison. Il avoue notamment avoir que son état s’est vu sur certaines de ses performances. « J’étais à Austin, au Mexique, à Vegas, j’ai fait des allers-retours, j’ai beaucoup voyagé et pris l’avion, et j’étais épuisé mentalement. Il y a toujours beaucoup de choses qui se passent et qu’on ne voit pas. Mais nous avons tous nos bons moments et nos moments difficiles en tant qu’êtres humains. Et pour nous, en tant que sportif professionnel, cela coïncide souvent avec vos performances. »
«J’ai eu des difficultés psychologiques avec les deux dernières courses»
Alors que George Russell a vécu plusieurs courses difficiles, notamment dû au fait qu’il était fortement épuisé psychologiquement, le Britannique avoue qu’il avait été harcelé à cause de ses mauvaises performances en Grand Prix. « J’ai eu des difficultés psychologiques avec les deux dernières courses, après trois mauvaises courses, et il y a eu pas mal de harcèlement aussi, en ligne. Ce qui joue toujours un rôle naturellement ; vous n’essayez pas de regarder tout ça, mais c’est impossible de ne pas le voir - toutes ces choses mises ensemble avec de mauvaises performances, c’est une pilule assez dure à avaler. Alors ce sont toutes les pensées qui reviennent quand vous passez la ligne et que vous avez un week-end brillant comme à Interlagos... il n’y a pas grand chose de plus qu’on aurait pu mieux faire ce week-end-là ; nous avons tout exécuté parfaitement. »