F1 : Nouvelle signature chez Ferrari, il jubile
Jean de Teyssière

Avant de voir Lewis Hamilton le rejoindre chez Ferrari, Charles Leclerc va devoir faire avec Carlos Sainz à ses côtés. Le pilote monégasque, chez Ferrari depuis 2019 a pris du galon et a de grandes ambitions pour la saison à venir, qui débutera ce dimanche à Bahrein. En fin d'année dernière, Leclerc a prolongé son contrat avec la Scuderia pour plusieurs années. Un choix qu'il n'a pas mis longtemps à faire.

Ferrari va avoir un duo de pilotes impressionnant en 2025. Carlos Sainz Jr va plier bagage pour laisser la place à Lewis Hamilton. Le septuple champion du monde britannique rejoindra une équipe italienne malade, en quête de titre. Charles Leclerc, lui aussi, a soif de victoires et sa prolongation dans l'écurie italienne est une bonne nouvelle pour l'ambition de Ferrari.

«J’aime Ferrari et je pense que je serai toujours reconnaissant de ce qu’ils ont fait pour moi»

Dans des propos rapportés par Nextgen-auto, Charles Leclerc raconte ses réflexions au moment de prolonger son contrat : « Même si, sur la piste, j’aime laisser parler mon instinct, lorsque vous prenez ce genre de décision concernant un contrat, il faut évidemment penser de manière très rationnelle. J’aime Ferrari et je pense que je serai toujours reconnaissant de ce qu’ils ont fait pour moi depuis l’année du GP3, en me donnant la chance d’accéder à la F1. Le projet doit avoir du sens, car je suis également conscient que si je crois au projet, je serai évidemment plus motivé en tant que pilote. J’ai donc dû me poser la question de savoir si c’était le meilleur endroit où je me voyais pour essayer d’avoir la meilleure chance de gagner le championnat dans les prochaines années. »

«Je n’ai pas eu à réfléchir beaucoup»

« Je n’ai pas eu à réfléchir beaucoup car, comme je l’ai dit, nous avons ces très longues discussions avec Fred, ce que nous voulons accomplir, comment nous voulons l’accomplir, admet Leclerc. Je suis totalement partant, je crois vraiment en la vision qu’il a pour Ferrari. Nous sommes tous les deux alignés sur la façon dont nous voulons gagner un championnat du monde dès que possible, donc c’était probablement plus rationnel que la dernière fois, car je prends plus de décisions avec le cœur qu’avec la tête, mais cette fois c’est le projet qui est derrière. »

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