Quand Max Verstappen n’est pas content, tout le monde le sait. Alors qu’il participait aux 24H du Mans virtuelles avec le jeu RFactor 2, le pilote néerlandais de Red Bull a été contraint d’abandonner suite à des problèmes de connexion. Un abandon qui l’a rendu fou de colère.
Alors qu’il était en tête, une déconnexion l’a poussé à abandonner. Le règlement de la course stipule que si « quatre pilotes ou plus se déconnectent au même moment exact, mais sans preuve claire de problèmes de serveur, la direction de course peut décider, à sa discrétion, d'attribuer aux équipes concernées des tours jusqu'à un maximum de trois. » Sauf que seulement deux joueurs sur quatre de l’écurie de Verstappen se sont déconnectées, ne pouvant donc pas bénéficier de ce coup de pouce de la part de l’organisation.
« C’est de l’incompétence »
On reconnaît souvent un compétiteur à sa haine de la défaite. Furieux, Max Verstappen s’est exprimé sur cet abandon auprès de la chaîne Twitch de Redline : « C'est de la malchance, ou juste de l'incompétence. Ils n'arrivent même pas à contrôler leur jeu. C'est la troisième fois que je suis déconnecté de cette course, c'est la dernière fois que je participerai. C'est une blague ! Il est préférable de retirer la voiture, plutôt que de rouler pendant six heures pour la 15e place, ça n'a de sens pour personne après tous les efforts fournis par l'équipe. »
F1 : C’est confirmé, Mercedes veut mettre fin au règne de Verstappen https://t.co/yCLTppabQU pic.twitter.com/A5KLyFeMsU
— le10sport (@le10sport) January 9, 2023
« Je vais désinstaller ce jeu »
Le pilote néerlandais, double champion du monde de Formule 1, a ensuite eu des mots violents envers le jeu : « J'espère vraiment que les organisateurs vont envisager de changer de plateforme parce que sur celle-là (le jeu RFactor 2), ça ne marche pas du tout. Je pense que je vais désinstaller le jeu pour faire un peu de place sur mon ordinateur. » Les studios ont répondu à Max Verstappen : « Une enquête complète va être menée et les conclusions seront annoncées en temps voulu. » Au moins, au volant de sa monoplace, le pilote est un peu plus maître de son destin.