Malgré une saison très compliquée, Ferrari nourrit de belles ambitions pour ce week-end à Bakou. Le Grand Prix d’Azerbaïdjan est particulier, et réussit bien à Charles Leclerc. Lewis Hamilton lui, a hâte de piloter cette SF-25 si différente sur circuit urbain, et espère mettre fin à son calvaire au sein de la « Scuderia ».
Pour sa première année chez Ferrari, Lewis Hamilton vit une saison compliquée. Sixième du championnat du monde, le Britannique n’a pas réussi à monter une seule fois sur le podium en 2025. Ayant réalisé un Grand Prix d’Italie intéressant face aux Tifosi, le septuple champion du monde souhaite enfin marquer un grand coup ce week-end à Bakou, à bord d’une SF-25 qui apporte des sensations vraiment différentes sur circuit urbain.
« Cette Ferrari est très différente »
« Cette Ferrari est très différente, elle a plus de grip mécanique que beaucoup de F1 que j’ai pilotées, donc j’espère que ce sera bien, c’est ce qui fait sa force sur les circuits urbains. Je suis donc curieux de découvrir ce que cela fait de piloter la SF-25 ici pour la première fois. Je suis impatient de voir quelles sensations elle me procurera dès la première séance. A voir si ce sera plus agréable cette année avec le grip de la Ferrari. L’essentiel sera de trouver le bon rythme dès la première séance d’essais libres demain », a ainsi confié Hamilton, relayé par Next-Gen Auto.
« Je suis optimiste avant ce week-end »
« Ce serait formidable de se battre pour le podium. J’aimerais avoir ce premier podium avec l’équipe à un moment, Charles en a déjà cinq. Mais je suis optimiste avant ce week-end, j’ai trouvé des choses et je dois commencer à les extraire. J’aimerais que ça commence ce week-end. Nous avons progressé avec la voiture au cours des dernières courses, et je suis assez optimiste pour Bakou. Nous nous améliorons constamment, et plus je passe de temps avec l’équipe, plus je me rapproche du feeling que je souhaite avoir avec la voiture », conclut Lewis Hamilton.