F1 : Alpine, Ocon… Fernando Alonso lâche ses vérités
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Lors du Grand Prix du Brésil, Alpine a réussi à glaner des points précieux dans sa lutte avec McLaren au championnat constructeur. Mais avant cela, Esteban Ocon et Fernando Alonso s’étaient accrochés pendant la course sprint du samedi, reléguant les deux pilotes à la 16e et 17e position sur la grille de départ. L’Espagnol a fini par reconnaître ses torts et à assumer son erreur.

Avec les résultats obtenus dimanche lors du Grand Prix du Brésil, Alpine a désormais 19 points d’avance sur McLaren au championnat constructeur. L’écurie française entend conserver sa quatrième place, avant la dernière course de la saison le week-end prochain à Abu Dhabi. Pourtant, les choses auraient pu moins bien se passer, notamment après l’accrochage entre Fernando Alonso et Esteban Ocon samedi, à l’occasion de la course sprint.

« J’accepte celui de la ligne droite »

En tentant de dépasser son coéquipier, l’Espagnol avait endommagé son aileron, ce qui avait entraîné cinq secondes de pénalité. Revenant sur cet incident, Fernando Alonso a fini par reconnaître son erreur. « J’accepte celui de la ligne droite, je pense que la pénalité était extrêmement sévère. Nous avons eu exactement le même accident à Portimão avec Kimi (Räikkönen) et (Antonio) Giovinazzi (en 2021), et il ne s’est rien passé. Quand vous n’endommagez pas la voiture... mais je prends la pénalité, je prends la faute pour cela », a-t-il confié, dans des propos relayés par Nextgen-Auto.

« Ça fait deux ans que c’est propre »

Le double champion du monde a également tenu à dédramatiser sur sa relation avec Esteban Ocon : « Ça fait deux ans que c’est propre, on s’est battus dans les premiers tours mais comme on part toujours ensemble, on se qualifie très bien. En deux ans, nous avons eu un contact. Nous avons récupéré en course tout ce que nous avions fait la veille. Nous essayons de faire le mieux possible pour l’équipe. »

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