Lucas Chevalier est actuellement au cœur d’une polémique. Le gardien du PSG est accusé de racisme pour avoir liké une publication Instagram où l’on voit le vice-président des Républicains, Julien Aubert, affirmer que s’il devait faire un choix, il choisirait le Rassemblement national plutôt que LFI. Par la suite, Julien Aubert a d’ailleurs tenu à s’exprimer par rapport au fait que le portier parisien soit fortement critiqué.
Alors que le PSG s’est imposé dimanche soir face à l’OL (3-2), Lucas Chevalier ne vit pas forcément le meilleur des lundis. Le portier de 24 ans est au cœur d’une polémique raciste pour avoir liké une publication Instagram invitant à voter pour le Rassemblement national. Sur les réseaux sociaux, le Français se fait donc critiquer de toutes parts.
Lucas Chevalier sort du silence
Face à l’importance qu’a pris cette affaire, Lucas Chevalier a été obligé de réagir. À travers plusieurs stories postées sur Instagram, le gardien du PSG a expliqué que ce like était accidentel et qu’il ne reflétait en rien ses convictions personnelles. « Je ne suis pas là pour vous étaler mon éducation et mes revendications politiques car je suis avant tout footballeur. Mais il est certain que toute personne qui me connaît, sait très bien à quel point je suis une personne dont mes parents et ma famille m’ont inculqué des valeurs, du respect, et qu’en aucun cas je me permettrais de penser ces choses-là. »
« Le délit d’opinion est propre aux dictatures fascistes ou staliniennes »
Dans la vidéo likée par Lucas Chevalier, on peut y voir Julien Aubert, vice-président des Républicains, affirmer qu’en cas de duel entre le Rassemblement national et LFI il choisirait la première option. Malgré lui au cœur de cette polémique, ce dernier a donc décidé de s’exprimer sur X et de défendre le gardien du PSG. « Depuis le joueur aurait démenti. Que ce soit vrai ou faux, il est préoccupant qu’en 2025 on soit obligé de cacher ses opinions politiques dans une démocratie. Le ‘délit d’opinion’ est propre aux dictatures fascistes ou staliniennes. »